Bijouterie:
Une femme habillé chichement, avec des lunettes de soleil entre.
Vendeuse: Bonjour, est-ce que je peux vous aidez?
Femme: Non, je vous remercie. C'est le propriétaire que je veux voir.
Vendeuse: (se retourne et voit que le propriétaire s'occupe d'autre client.) M. Rausch est occupé pour l'instan, peut être je peut vous conseillez?
Femme: Non, lui seul peut le faire.
Vendeuse: Hé bien ça risque d'être un peu long... Je peux vous invitez à vous asseoir dans notre petit salon...(la femme va vers le propriétaire.)
Propriétaire: (à d'autre client.) Ceux si sont un peu plus spectaculaire. Peut être est-ce plus ce que vous recherchez?
Femme: M. Rausch?
Propriétaire: Un instant s'il vous plaît.
Femme: (air très sérieux.) Je suis vraiment navrée. Mais cela ne peut pas attendre.
Propriétaire: (inquiet, puis se tourne vers ces clients.) Essayez la, je reviens tout de suite.(part avec la femme un peu plus loin dans le magasin.)
Que puis-je faire pour vous?
Femme: (fouille dans son sac et donne un papier.)
Propriétaire: (lit le papier.) Mais qu'est ce que ça veut dire?
Femme: Exactement ce qui est écrit. Si vous refusez de m'aider, votre fille et votre femme mourront.(montre une photo des deux filles attachées.)
Propriétaire: Mais qu'est ce que vous leur avait fait? Où sont-elles?
Femme: Contentez vous de faire ce qui est écrit. Les gens avec qui elles sont, vous n'avez aucune idée de quoi elles sont capables. Ils veulent les diamants. (Le propriétaire regarde attentivement la photo, la femme insiste.) M. Rausch.
Propriétaire: Oui, oui, oui. D'accord, d'accord.(il ouvre le tiroir et prend des diamants qu'il met dans le sac de la jeune femme. Il hésite.)
Femme: Pensez à votre fille et à votre femme, M. Rausch. (le propriétaire met le reste des diamants dans le sac de la jeune femme.)
La vendeuse du début remarque qu'il se passe quelque chose d'anormal. Elle en parle au gardien.
Propriétaire: J'ai fait tout se que vous me demandiez. Ma famille est hors...
Femme: Non pas encore. Si tout se passe bien, sans police, ni FBI, alors pour les reverrez dans les 24 Heures.
Propriétaire: Non, c'est beaucoup trop long, je ne peux...
La femme veut partir, le gardien essaye de l'en empécher. Elle veut prendre quelque chose dans son sac, mais le gardien tire avant. La femme tombe raide morte.
Un peu plus tard le FBI arrive sur les lieux. La police et Colby interroge le gardien.
Don: Alors Colby?
Colby: Salut Don. (suit Don.) La femme du proprio de la bijouterie n'est pas venu travailler. Sa fille n'est pas été à l'école non plus.
Don : (entrant dans la bijouterie en mettant des gants.) Donc elles auraient vraiment été enlever?
Colby: Ouais apparement.
Don: (à David qui est sur les lieux. ) Ca va David?
David: Ouais ça va.
Don: On a une identité?
David: Aucun papier sur elle, la seule chose qu'on est retrouvé c'est ses clés de voitures, des lunettes, et un demi-million en diamants qu'elle n'avait pas en arrivant.
Don: Pas d'arme?
David: Ca dépend de se qu'on entend par là.(Montre la photo.)
Colby: Le vieux a crut qu'elle sortait une arme pour la descendre alors il a tiré.
Don: J'espére qu'il n'aura pas tué trois personnes d'un seul coup de feu.
Générique.
Don:(montrant une photo d'une femme et sa petite fille.) Votre attention s'il vous plaît, elle c'est Diane Rausch, la femme du bijoutier avec leur fille de 8 ans, Julia [se prononçant à l'italienne] Nous allons traiter cette affaire d'abord et avant tout comme un enlévement. Le hold-up est secondaire. Ce n'est que le moyen de remonter jusqu'au Kindnapeurs. On est d'accord?
Où , on en est avec notre inconnue?
David: Ses empreintes ne sont pas dans nos archives.Le légistes vérifie sa dentition et tout se qui peut permettre son indentification.
Don: Et sa voiture? Ca donne quoi? Une fois qu'on l'aura retrouver on sera qui est la femme.
Colby: Nos agents ont quadrillé tout le quartier autour de la bijouterie. Aucune voiture correspondant au clés.
Don: Bon il faut trouver comment elle est arrivé. En train, en bus, tout se que vous pouvez me trouver.
Megan: Elle a surement un complice qu'il a accompagné. Statistiquement, les femmes criminelles n'agissent jamais seules.
Colby: (ironique.) C'est toujours la fautes des mecs, hein Megan.
Megan: (pas trop contente.) Je ne fais que répéter ce que disent les statistique moi.(Colby mordille son stylo en souriant.)
Don: Au boulot, il faut identifier qui est cette femme. C'est notre seule chance pour la mère et l'enfant. Des questions? Alors au travail.
David: Après ce qui s'est passé, leur chances sont plutôt minces.
Don: Si on veut les augmenter, il faut partir du principes qu'elles sont en vie. On les retrouvera.
Cafétaria du FBI:
charlie arrive avec un dossier en main.
Charlie: Don.
Don: Tien salut Charlie. Qu'est ce que tu fais là?
Charlie: J'suis venu t'apporter ça.
Don: Ah bon, qu'est ce que c'est?
Charlie: Comment ça qu'est ce que c'est? Euh, comment dirais je. C'est une indexation de la géographie des crimes que tu m'as supplié à genoux de faire pour toi.( Don ne l'écoute pas.) J'ai découvert d'étonnante récurence tu vois. Tu pourrais dire merci.
Don: Merci beaucoup.
Charlie: (s'énervant un peu.) J'ai passé toute la nuit à indexer toute ses données.
Don: Désolé, mais on a un enlévement sur les bras. Une femme et sa petite fille de 8 ans sur les bras alors... (sort de la cafétaria et part vers son bureau.)
Charlie:(suivant son frère.) On sait qui les a enlevé?
Don: Non, tout se qu'on a, c'est le cadavre d'une inconnue.
Charlie: Vous ne savez rien d'elle?
Don: Pas grand chose. Elle portait des lunettes, et posséde une voiture qu'on a toujours pas retrouvé.
Charlie: (prennant le sachet contenant les clés.) Ceux sont ces clés?
Don: Ouais toute les recherches n'ont rien donné.
Charlie: Le systhéme de fermeture et d'ouverture à distance sont un problème mathématiquement très intéressant.
Don: (n'écoutant pas son frère.) Ouais...
Charlie: La plupart des véhicule localisé aujourd'hui en sont équipé. Il me semble avoir lu quelque part que cela concerne 80 % des modéles.
Don: ouais, sans doute.
Charlie: Attends. Chaque sytéme n'a été créer que pour ouvrir ou fermer une seule voiture.
(Illustration de la théorie de charlie.)Sinon, en appuyant sur le bouton dans un parking on déverouillerait toutes les voitures.
Don: (soudain plus intéressé.) Tu veux dire que chaque voiture à sa fréquence?
Charlie: Non, c'est ça le truc. Tout les systhéme utilise la même fréquence. Mais chaque télécomande a un code numérique, qui le relie à une seule voiture.
C'est vrai que personne ne pense jamais à tout ça mais, c'est une technologie reposant surtout sur les maths. Tu sais qui est ce qui pourrait te filer un coup de main? C'est Larry. Les recherches sur l'écoute du cosmos est atypique des spectres de fréquences.
Don: Il faut qu'on retrouve cette voiture. Alors tout ce que toi ou Larry pouvait faire pour nous aider, sera la bienvenue.
Bijouterie:
David: Alors la dernière fois que vous avez vu votre femme et votre fille c'était pour le petit déjeuner.
Propriétaire: Elles étaient dans la cuisine. Je les ai embrassé et je suis parti travailler.
David: Votre femme devait aller conduire Julia à l'école?
Propriétaire: Oui c'est ce qu'elle fait tous les jours.
Colby: (à David.) Un voisin les a vus partir à 8H30. Selon lui tout était normal.
(ils arrivent dans le bureau du propriétaire.)
Propriétaire: Je n'ose pas imaginer ce qu'elles endurent.
David: Le mieux que vous puissez faire, c'est de rester clame et maître de vous.
Colby: M. Rausch, avez-vous remarquez des allers et venues suspectes, ou une voiture bizarre dans la rue? Ou bien quelque chose qui vous a paru étrange?
Propriétaire: Je suis navré, mais je n'arrives pas du tout à me souvenir.
Qu'est ce qui va se passer maintenant?
Colby: On va mettre en place une cellule de crise et vous serez placer sous écoute au cas où les ravisseurs voudraient vous recontactez.
Propriétaire: (énervé.) Comment ça me mettre sous écoute. C'est hors de question!!!
David: M. Rausch écoutez...
Propriétaire: Ce que cette femme m'a dit c'est ni police, ni FBI.
David: S'ils vous apellent...
Propriétaire: S'ils me téléphonent, je ferais tout ce qu'ils me diront, je paierai tout ce qu'ils me demandent. Tout ce que je veux c'est revoir ma famille.
Un peu plus tard dans le couloir.
Colby: Ni police, ni FBI. Rausch pourrait devenir une cible.
David: Ouais, c'est pour ça qu'on va mettre sa ligne sous écoute et le placer sous surveillance.
Calsci: Bureau de Charlie:
Larry: Dis-moi Charlie, as-tu jamais réfléchi à notre place dans l'univers?
Charlie: (ironique.) Certainement. A chaque fois qu'on se voit.
Larry: Ce que je veux en venir, c'est que des galaxie sont en constante éloignement de nous. Elles s'en vont et plus elles s'éloignent de nous, à la vitesse qu'elles nous abandonne sacroit.
Charlie: Certes, mais je ne vois pas où tu veux en venir?
Larry: A Amita, Charlie.
Charlie: (blasé.) Oh non...
Larry: Plus tu laisse se monde impossible s'éloignait de toi,Il va de plus en plus loin, de plus en plus vite.
Charlie: C'est plus compliqué que ça.
Larry: Peut importe de la complexité de la forme ou de la composition d'une étoile, une fois qu'elle a utilisé toute son énergie, elle se transfome en quoi? Elle se transforme en un trou noir.
Charlie: Tu nages encore en pleine méthaphore astrale?
Larry: Attends, c'est les galaxie qui...
Charlie: Notre relation n'est pas un trou noir.
Larry: Charles!!!
Charlie: (énervé.) C'est clair...
Don (arrivant.) Désolé de vous déranger en pleine prise de bec?
Charlie: Pas du tout c'est Larry qui...Au faite tu t'obstinne à te méler des autres probléme plutôt que celui qui nous intéresse.
Larry: Oh, mais quel probléme? Le récepteur est opérationel. Il ne reste plus qu'à attraper la télécomande et a appuyer sur le bouton et les données seront transmise et capturé et apparaîtrons sur mon écran.
Don: très bien.
Charlie: Alons y. (appuye sur le bouton. Un code apparaît.)On les as. (montrant le code.) Ca c'est le code de dévérouillage de la portière.Bien on recommence. (un autre code apparaît.)
Don: (surpris.) Les chiffres sont différents!
Larry: Parce que c'est un code variable.
Charlie: Chaque fois qu'on appuye, ça envoie un code différent au véhicule.
Don: Oui...Et alors?
Charlie: C'est comme au baseball. Si le lanceur envoie la balle toujours de la même façon il se passe quoi?
Don: Il se fera sortir par le batteur.
Charlie: C'est la même chose pour le code.
(Illustration de la théorie.)
Si la clé envoie toujours le même signal, se serais très facile à intercepter. Un code tournant c'est comme un lancer imprévisible.
Un lancer lifter, ou un changement de vitesse.
Don: Si la clé envoie chaque fois un signal différent, comment elle le reconnaît?
Charlie: Chaque signal radio est prédictible a partir du moment que l'on sait quel algorithme elle génére.
Ca peut être seulement ajouter un, comme lorsque le receveur qui montre un doigt de plus au lanceur pour le prochain lancer.
Don: Donc peut importe que le code soit différent, tant que le véhicule le reconnaisse.
Charlie: Oui, cependant avec ce type de clé, l'algorythme est beaucoup plus compliqué. Elle contient une séquence longue de 32 chiffres hexadécimaux au minimum. C'est très hardu.
Il faut qu'on découvre l'algorythme qui génére cette fréquence. Plus j'en saurais, des données, plus j'arriverais à décrire cette séquence.
Don: D'accord.
Larry: Oui , d'où ma préférence pour les voitures classique. Leur systhéme de vérouillage électronique. Les siéges chauffant je trouve ça...
Don: (coupant Larry.) On reste censé, c'est d'un enlévement qu'il s'agit et plus le temps passe, moins on a de chances de les retrouvées.
Charlie:T'inquiéte on s'en occupe. On va aller aussi vite que possible.
Larry: Oui.
Bureau du FBI.
Megan: (entrain de classer les diamants.)
Colby: (ironique comme toujours.) Tu essayes de les trier? Sur quel critére tu te bases?
Megan: Ceux qui me plaisent et ceux qui me plaisent pas. Je regardes leur qualitées, pour savoir si elle savait se qu'elle faisait.
Elle n'apparaît pas dans nos archives. Elle n'a jamais commis de délit. Pas de casier. Et ce matin, elle se léve et elle se lance dans le crime.
Colby: Peut être elle ne s'est jamais fait pincé.
Megan: Ca ne colle pas avec son comportement. Regarde là. (montre la fille sur la vidéo.) A aucun moment, elle n'essaye d'éviter les caméras. Et où sont ces gants? Elle laisse des empreintes sur tout le comptoir de la bijouterie. Attends regarde ça. (zoom sur le visage de la jeune fille.)
Colby: Quoi?
Megan: Elle a l'air terrifié.
Calsci: Bureau de Charlie.
Notre génie des mathématiques est entrain de faire des algorythmes, tout en écoutant de la musique, sur son tableau noir.
Soudain, Amita arrive.
Charlie: (voit Amita, enléve ses écouteurs.) Bonjour Amita.
Amita: Bonjour Charlie.
Charlie: Ca va? Qu'est ce que tu deviens?
Amita: Sur quoi tu travailles?
Charlie: C'est pour Don.Ca concerne un enlévement. C'est assez ardu. Ouais, je n'arrive pas à trouver la solution.
Amita: Tu veux un coup de main?
Charlie: Volontier. J'essaye de déterminé quel est l'algorythme qui a généré la série de données d'une suite évolutive.
Amita: Tu travailles sur les données d'un code tournant?
Charlie: C'est ça.
Amita: Eh bien, Pour toute ta première partie...Il n'y a pas de soucis. Ton truc tient debout. Mais en revanche...Pour la deuxiéme. J'ai un gros doute. Tu as essayé avec un automate cellulaire?
Charlie: Tu veux dire... (illustration de l'esprit de Charlie.) Comme dans la théorie de la calculabilité de Wolfram?
Amita: Oui, c'est juste une idée.
Charlie: Amita, ton idée est tout simplement...Génial.
Amita:(étonnée.) Quoi? Qu'est ce qui te fait sourire comme ça?
Charlie: Tu accepterais que tu passes une soirée avec moi, quand on aura la solution?
Amita: Charlie...Je rêve ou tu viens de me demander de sortir avec toi?
Charlie: Oui, toi et moi. Et on parlera de tout sauf du boulot. On essaye?
Amita: (elle sourit, et hésite.) D'accord.
Bureau du FBI:
Megan: J'ai le rapport du légiste sur notre inconnue. Aucune trace d'empreinte dentaire. Elle n'a jamais eu une seule carrie.
Don: (ironique.) Une voleuse adepte du fil dentaire.Aucun autre indice? Lentille de contact? Implant mammaire?
Megan: Ces lentilles ont été acheté sur internet, et n'ont pas de numéros de série. Et chose complétement incroyable, ses seins sont vrais! A Los Angeles. Par contre elle s'est fait refaire le nez. Ca nous est d'aucun secours pour notre enquête, mais ça m'aidera à mieux dormir, en pensant que personne n'est parfait.
David: Merci. (raccroche le téléphone.) On en sait un peu plus sur les circonstances de l'enlévement. Il se pourraît que se soit passer entre la maison et l'école.
Don: Colby ça en est où l'instalation de la cellule de crise chez Rausch?
Colby: Nul part, il nous a interdit d'entrer chez lui.
Megan: Comment ça interdit?
Colby: Rausch pense qu'il a plus de chance de les sauver sans nous.
Don: C'est pas vrai. Il se trompe complétement.
David: C'est bien ce qu'on lui a dit.
Le téléphone portable de Don sonne.
Don: (répond.) Eppes?
Charlie: Salut Don c'est moi. J'ai réussi à décrypter le codage de la clé de la voiture de votre inconnue.
Je vais te l'envoyer par e-mail tu es prêt?
Don: Oui vas y.
Charlie: Ca y est tu l'as?
Don: Attends une seconde. (il ouvre sa boîte e-mail et reçoit un message avec pleins d'algorythme.) Ca y est je l'ai. Mais c'est trop compliqué pour moi.
Charlie: Contacte les fabriquants, eux seuls peuvent en tirer quelque chose. Cet algorythme est spécifique à une seule voiture qu'eux seul pourront te donner le numéros de série, ensuite l'immatriculation te dira à qui il appartient.
Don: Excellent, je te remercies Charlie. (raccroche.)
On voit dans des jumelles l'extérieur d'une maison. C'est le point de vue de Don dans une voiture. Colby arrive.
Colby: Apparement il n'y a qu'un type d'une soixantaine d'années dans le salon. Aucune trace de quelqu'un d'autre.
Don: D'accord. On lance les opérations. Préviens David.
Colby: J'y vais. (Don descend de la voiture.)
Quelqu'un frappe à la porte, de la maison. Avec une autre angle, on voit qu'il s'agit de David déguiser en livreur. Un homme agée lui ouvre la porte.
Homme: Oui bonjour.
David: Bonjour Monsieur, J'ai un paquet pour attendez...Erica Logan.
Homme: Erica n'est pas là.
David: Bon. Vous accepterez de signer pour elle?
Homme: Oui bien sur. Attendez.
David: (braque son arme, et met sur le côté la personne.) FBI, on reste calme.
Homme: D'accord, on reste calme.
Don: (prenant l'homme.) Qui est à l'intérieur?
Homme:Il n'y a personne. Il n'y a que moi.
Toute l'équipe entre en hurlant FBI. Ils examinent les divers endroits de la maison en hurlant toujours les même mots. Mais visiblement, il n'y a personne.
Quelqu'un raméne l'homme à l'intérieur tout étonné.
Homme: Mais enfin, vous pouvez me dire ce qui se passe?
Don: Est-ce vous le propriétaire d'une voiture imatriculé 17 12 CA?
Homme: C'est la voiture de ma fille pourquoi?
David: De votre Fille?
Homme: Erica et à cette heure ci elle est à l'école.
Don: Elle suit des cours?
Homme: Non elle est enseignante en maternelle.
Colby: Votre fille est maîtresse d'école?
Homme: Oui pourquoi? Enfin qu'est ce qu'il y a?
(le téléphone de colby sonne, Don montre une photo à l'homme.)
Don: C'est elle?
Homme: Oui, c'est elle. Mais dîtes-moi où elle est? Où est ma fille?
L'homme regarde la photo de sa fille cambriollant la bijouterie.
Homme: Ca n'a vraiment aucun sens. Elle ne peut pas être... Vous avez du vous trompez de personne. (rend la photo à Don.)
Don: Non, monsieur, je suis navré. C'est bien votre fille.
Homme: Quand ma femme est morte, Erica n'avait tout juste 12 ans. Rémi son frère en avait 6. C'est grâce à Erica que l'on s'en est sorti. Elle nous a redonné goût à la vie. Comment quelqu'un comme elle pourraît être impliqué dans un Hold-up?
Don: Quand lui avait vous parler pour la dernière fois?
Homme: Ben ce matin!
Don: Elle vit ici avec vous?
Homme: Eh bien...Ma santé n'est plus très florissante. Elle est revenue à la maison, il y a un an. Pour s'occuper de moi.
Don: Elle a un petit ami? Des fréquentations permettant d'expliquer son acte d'aujourd'hui?
Homme: Pour tout vous dire, le fait qu'elle s'est occupé de moi et de son petit frère ne lui a pas laissé beaucoup de temps pour elle. Mais ce que je peux vous assurer c'est quoi qui se soit passer. Erica n'est pas responsable.
David: D'accord. (raccoche son téléphone.) On a du nouveau, on a retrouvé la voiture des Rausch.
Dans la rue:
Des policiers sont placés prés d'une voiture noire.
Colby: C'est le véhicule de Mme Rausch. Elle et sa fille ont été vu pour la dernière fois quittant leur domicile ce matin.
Don: L'école de la petite était à trois rues d'ici. Les ravisseurs connaissaient leur itinéraire. (met des gants, comme Colby.)
Colby: Ils les ont enlevés en plein jours....
Don: On dirait qu'ils ont heurté derrière. On pourra peut être récupérer de la peinture sur le par-choc.
Colby: C'est comme ça qu'ils ont dut s'y prendre. Ils leur fonce dedans, la mère sort pour faire le constat et ils les embarquent.
Don: Y a une chaussure.
Colby: Ca correspond à ce que Rausch a dit que sa fille portait ce matin.
Don: (met la chaussure dans un sachet.) Tout a dut se passer très vite. C'était totalement prévu de A à Z et exécuter à la lettre. Ils ont put prendre l'autoroute tout prêt. On a pas affaire à des amateurs.
Colby: Ca ne fait aucun doute. Ceux sont des pros.
Don: Qui utilisent une maîtresse d'école comme homme de main.
Bureau du FBI:
Sur un tableau Blanc, on voit de nombreuses photo et un plan.
Don:(énervé.) Pas le moindre signe. Aucun contact.(regarde sa montre.) Ca va faire bientôt sept heures. Qu'est ce qu'ils veulent?
Megan: Je reste convaincu Qu'Erica Logan est la clé. (on peut voir Colby presque affalé sur la table et David bien assis sur sa chaise.) Un tel changement de comportement nous pose la question de ce qui a put être le déclencheur.
David: Déclencheur? C'est à dire?
Megan: Eh bien par exemple le plus représentatif par les statistique officiel, c'est que l'on voit la mort de trop prêt évidement quelqu'un changerait brutalement de comportement après avoir survécu à un crash d'avion par exemple. Ou alors quelqu'un qui n'a plus qu'un mois à vivre, peut tout d'un coup devenir quelqu'un d'autre.
Colby: Ca colle pas avec notre institutrice, sinon le médecin légiste l'aurait vu.
Don: D'accord. Quoi d'autre comme déclencheur?
Megan: Euh...Oui l'instinct parental, quand son enfant est menacé.
Colby: Oui, mais ça non plus ça ne colle pas. Son père nous as dit qu'elle n'a jamais eu d'enfants.
Don: Mais elle a un petit frère, qu'elle a pratiquement élevé. C'est bien ce qu'il a dit? (montre du doigt David.)
David: Ouais.
Megan: Et ça aussi peut être un catalyseur. Si frère et soeur ont développé ce genre de lien.
Don: Je suis bien placé pour savoir que les petits frères sont de sacrés déclencheur. (à David.) Va voir le père, et trouve moi l'adresse du fils. Je veux tout savoir sur le petit frère.
Colby: (range ses affaires.) Ok.
Restaurant:
Charlie: Je voudrais vraiment te remercier pour ton aide, cet aprés midi. J'aurais continuer à rester à regarder ces chiffres si tu ne m'avais pas parlé de ces automates cellulaire. Tu m'a bluffé.
Amita: Ca été une de ces illuminations étranges que l'on a parfois, quand on a un regard neuf sur les choses. C'est marrant parce qu'au départ j'ai pensé à un constructeur universel, mais assez vite, j'ai pensé que... (s'arréte et regarde Charlie.)
Charlie: Compris quoi?
Amita: Ca y est. Ca recommence Charlie. On est encore entrain de parler de boulot. On avait pourtant dit que l'on aller pas aborder ce sujet.
Charlie: C'est vrai. Oui je m'en souviens.
Les deux jeunes mathématiciens ne semblent pas être à l'aise. Ils boivent leur verres et s'échangent des regards.
Amita: Tout ça est ridicule.
Charlie: Oui, ridicule.
Amita: On doit bien pouvoir parler de quelque chose autre que de ce sur quoi on travaille. D'avoir une conversation normale.
Charlie: Oui ça ne fait surement aucun doute.
Ils s'échangent de nouveaux des regards sans rien dire.
Amita: Il y a un truc qui cloche chez nous?
Charlie: Je sais pas. La pression. Peut être c'est la pression?
Amita: Oui c'est surement la pression.
Le serveur arrive et leur sert leur repas.
Amita: merci.
Charlie: Super...Merci, merci beaucoup. (prend un légume étrange en main.) Tu as vu ça? Regarde! Tu sais ce que c'est? Un chou romanesco brocoli à pomme. Je n'en avait qu'en photo. Et ce chou a une dimension fractale évidente c'est stupéfiant.
Amita: La nature est géniale, il existe un légume qui est aussi un objet fractale.Alors qu'on apprend l'importance des fractales en astro-physique. En faite, comment ne pas se demander si ça n'est... (s'arréte à nouveau et regarde Charlie.)
Charlie:(géné en comprenant ce qu'il se passe.) Ouais...Bon appétit.
Amita: Merci.
Bureau du FBI:
Colby: T'avais raison. Le frère s'apelle Rémy Logan. Et il a un dossier. Délinquance Juvénile.
Don: Ouah...Vol mineur, agression, jeu de paris illégaux.
Megan: Tout à fait le genre de petit frère qui a le chic pour déranger la vie de sa soeur.
Don: On sait où est-ce qu'il est?
Colby: David vient de trouver son adresse.
Don: Raméne le petit frère.
Dehors.
Colby et David arrivent à proximité d'un appartement, où il y a une piscine, d'où de belles jeunes filles nagent.
Colby: (se rinçant l'oeil et rigolant un peu.) Ouah...D'après toi, ça coûte combien un appartement ici?
David: Bah, je dirais dans les environs de 2 000, 2500. Tu veux déménager?
Colby: (ironique.) Il n'y a pas de piscine dans la résidence où je vis. Je me disais peut être que là à Los Angeles. Autant avoir une piscine.
David: Ouais, t'a raison. La piscine est le moindre des priviléges ici.
Dans les couloirs.
Colby: C'est là.
David: Le six. T'es prêt? (on entends la télévision.) Sa voiture est toujours au garage.
Colby regarde par la fenêtre, mais ne voit que deux grand écran plasma. puis une ombre.
Colby: Y a quelqu'un à l'intérieur.
David:(frappe à la porte.) Rémy Logan? FBI Ouvrez!
Colby: (voit le jeune homme prendre la fuite.) Il sort par derrière.
Nos deux agents fédéraux se mettent alors à courir dans les escaliers, pour se retrouver à la sortie face à Rémy. Ils hurlent FBI en braquant leur arme.
Colby: Arrétez ou je vous tire une balle dans le dos.
Rémy: (arréte de courir.) Tirez pas. Je ne suis pas armé.
David: A terre.
Rémy: Tout ce que vous voudrez mais ne me tuer pas.
Colby: Personne n'allait vous tirez dessus. J'avais juste la flemme de courrir aujourd'hui.
Maison de Rémy:
David: On dirait que quelqu'un est sur le départ ici. Vous alliez partir Rémy. De qui vous vous sauvez vous?
Rémy: Je prends quelques jours de vacances. J'ai le droit. Ce n'est quand même pas interdit.(rit.)
Colby: Non. Vous n'allez pas assister au funérailles de votre soeur?
David: On est au courant pour la bijouterie. Pour le Hold-up d'Erica.
Colby: Pour l'enlévement aussi. La petite fille et sa mère.
Rémy: Quoi? Mais je ne vois pas du tout de quoi vous parlez.
Colby: Rémy...J'ai lu votre dossier. J'ai parlé avec votre père. Je connais toute l'histoire. Vous êtes le petit frère qui a mal tourné. Et Erica, c'était la grande soeur qui était toujours là pour payer la caution. (On voit le visage de Rémy se refermer.) Mais là ça a mal tourné. Vous avez perdu votre soeur lors d'un cambriolage qui a mal tourné. Si vous êtes impliqué, vous tomberez pour complicité. Et en ce qui concerne les ravisseurs. Si vous êtes de méche avec eux, vous allez écopper de la peine de mort.
David: Ecoutez moi. Il est encore de tout nous dire. Dites nous où sont cette maman et sa petite fille.
Rémy: J'en sais rien du tout.
Colby: (reviens avec un tableau et des chiffres.) David, jette un oeil là dessus.
David: Equipe, côte, paris. Vous faisiez des paris clandestins? Qui est votre bailleur de fond?
Rémy: Personne, je travaille tout seul.
David:(rigole.) Je n'ai jamais vu de Boomaker qui travaille tout seul, sans coffre, ni garde, ni verrous sur leur porte d'entrée.
Colby: (sur l'ordinateur de Rémy.) Vous travaillez pour personne hein?
On a la liste de tout les paris qu'il a recueillit.
Maison des Eppes.
(Table de la salle à manger.)
Alan: Enfin Charlie. Ca n'a pa put être si terrible?
Charlie: J'aurais du mal à t'expliquer à quel point ça été catastrophique. Désastreux.
Alan: Je comprend pas. Amita et toi vous avez l'air de si bien vous entendre.
Charlie: Ben, moi non plus j'y comprends rien.
Alan: Bah ça arrive. Ca ira peut être mieux la prochaine fois.
Charlie: Non, il n'y aura pas de prochaine fois.
Alan: Tu ne dois pas jetter les bras. Tu ne baisses jamais les bras.
Don: Qui baisse les bras?
Alan: Charlie. Il a foiré son diner avec Amita.
Charlie: J'irais pas dire jusque là. J'ai pas foiré comme tu dis j'ai... (vois son père le regarder.) C'est peut être possible que j'ai foiré.
Don: On peut savoir ce qu'il sait passer?
Charlie: On c'est aperçut, qu'on avait rien d'autre à ce dire, en dehors des maths!
Don: Oh, je connais très bien ce qui t'arrive là. C'est une tare familliale chez les Eppes. Moi, quand je suis sorti avec Terry un soir, on s'était juré de pas parler boulot. Et on a pas dit un mot.
Alan: Et comment tu t'en es sorti?
Don: Bah , en faite, Terry est reparti avec son ex alors...
Charlie: (après un temps de silence en jouant avec son sachet de thé.) Je te remercie, c'est très encourageant.
Don: C'est pas ce que je voulais te dire. Je suis désolé. Là c'est différent. Elle et toi vous réussirez. En tout cas moi je suis dans l'impasse avec cette affaire.
Charlie: Vous les avez pas retrouvées?
Don:Non.
Alan: Trouvez quoi?
Don: Une mère et sa fille de 8 ans qui ont été enlevé.
Alan: c'est Horrible! (se léve ainsi que Charlie pour rejoindre Don dans le salon.) Qui les a enlevé?
Don: Si seulement on le savait. On a un suspect. Un bommaker. On pense qu'il y a un lien mais... On a trouvé des dossiers sur son ordinateur qui sont impossible à analyser.
Charlie: Vous cherchez quoi au juste?
Don: Celui ou ceux qui financent les opérations. Ce type gére des paris sur un site Starwayre, l'Url qui méne en Chine. Et avec tout l'argent qui entre et qui sort, on arrive pas à distinguer les joueurs des parieurs.
Charlie: Ces séries d'abréviations peuvent correspondre à des noms et des dates. Mais cette suite de chiffre, je ne sais pas à quoi elles correspondent.
35-17, 11, ensuite 23-17, 5, 24-12, Trois et demi.Non. On dirait que ceux sont des pronostiques aléatoires, mais non c'est impossible.
Alan: (avec un visage étonné.) Tu as raison. Ils ne le sont pas. (Don reléve la tête.)
Don: De quoi tu parles?
Alan: Où est-ce que j'ai mit mon journal? (cherche, et trouve son journal.) Les scores de foot de ce week end. Alors 35-17, 11. Les pakers ont été battus par les Vinkings 35 à 17, et ils avaient un handicap de 11.
Don: Ouah!
Alan: 23-17 et 5. Attends une seconde. Voilà. Les Niners à San Diego handicap de Cinq points, d'accord?
24-12, mais c'est ça. Les Jaguars contre les Colts.
Don: Fais moi voir. (prend le journal.)
Charlie: C'est exatement ça.
Alan: Voilà, c'était truqué comme côte. J'ai parié pour les Colts, et j'ai perdu 100 dollars.
Don: (étoné.) Tu as un Bookmaker?
Alan: Tu veux que je téléphones à mon avocât?
Don: Je laisse couler.
Charlie: Attendez. Si les chiffres de cette colone sont les côte. Alors la différence entre les gagnants et les perdants peut ensuite suivre la trace de payement du compte.
Bureau du FBI:
Charlie: Il y a un grand nombre de théorie mathématique qui s'applique aux jeux. Le plus important, dans le cas d'un bookmaker, c'est la côte, cette colone. (appuye sur un bouton, et sur l'écran on voit toute une colone en bleu.) Bien dans l'idéal. (prend une régle et d'autre objet.) Le bookmaker veut récupérer autant d'argent sur les deux équipes en jeu. Cependant, il est possible qu'une équipe soit plus forte que l'autre. Pour garder l'équilibre, il doit donner plus de côte sur l'équipe la plus faible. (il ajoute des tombones dans une boîte au bord de la régle, alors qu'il y a une deuxiéme boite de l'autre côté de la régle.) et conserver l'équilibre. Et s'il parvient à le conserver. Il n'aura pas à payer les gagnants de sa poche. Mais avec l'argent des perdants.
Colby: Et qu'est ce qu'il gagne le bookmaker?
David: Le pourcentage.
Charlie: Tu as tout compris. Pour chaque dollars perdu, (il étale les trombones sur la table.) Le bookmaker touche environ dix centimes. Si le Bookmaker arrive à prendre 4,5% de tout les paris. Ce qui veut dire qui veut dire qu'un parieur pour qu'il gagne autant qu'il ait perdu il faudrait qu'il paris 50 fois sur 100. en faite 52,38 fois exactement.
Megan: C'est un bon plan pour le Bookmaker, mais nettement moins, pour le joueur.
Charlie: Une fois que j'ai fait les profits. Ca n'a pas été très dur de faire le pourcentage des gains. Et j'ai put remonter jusqu'à ce compte bancaire. (une ligne s'agrandit.)Un compte de la Banque de la Pacific World Bank de Santa Monica.
Megan: Surement le commanditaire?
David: Ou les ravisseurs.
Don: (regarde sa montre.) Colby, je veux que tu ailles me chercher le directeur de la banque. Tu le réveilles s'il le faut. Je veux le nom de ce compte.(à Charlie.) Bon travail Charlie.
David: Dis moi Charlie. Cette liste de Nom, d'où tu la sors?
Charlie: Je l'ai trouvé dans la liste des carnets où l'on mets les gagnants, les perdants, les profits, les risques et les succés.
Don: Quoi qu'est ce qu'il y a?
David: On peut la revoir sur l'écran?
Charlie: Sans probléme. (illumine qu'une partie de l'écran.)
David: Descend un peu s'il te plaît.
Charlie: (s'exécute.)
David: Stop! Regardez!!! (une ligne reste en blanc.)
Don: Tient donc!
Megan: Rausch? C'est le nom du bijoutier. C'est un des clients de Rémy Logan?
Charlie: Les chiffres indiquent que Rausch a perdu pas mal d'argent.
Don: Comment ça pas mal d'argent?
Charlie:(fait un Zoom sur les pertes.) 180 000 dollars.
Don et Colby sont étonnés.
Megan: Cela fait le lien entre Rausch et Rémy, et aux ravisseurs liés à l'enlévement.
Don: Attendez une minute...Rausch serait l'élément central de cette affaire?
Bureau du FBI:
Dans les couloirs, Don semble regarder si son arme est en place, quand il est rejoint par Colby et Megan.
Colby: Don! Rausch a joué les filles de l'air.
Don: Comment ça? Il était sous notre surveillance?
Colby: On était en filature et il nous a semé. Il a éteint son portable alors qu'il attends le coup de fil le plus important de toute sa vie.
Megan: Il a peut être déjà reçut son coup de fil?
Colby: Non, il est mis sur écoute, il n'a reçut aucun appel.
Don: Si ça se trouve, il a un autre téléphone. Appelle la police locale et faîtes des recherches.
Colby: D'accord.
David: J'ai fait des recherches sur les comptes de Rémy Logan. J'ai trouvé ces deux noms. Brian et Chris Reynolds. Deux frères. Ils ont vidés leur comptes deux minutes après que le braquage est mal tourné.
Megan: Ils savaient qu'on allait retrouver Rémy Logan et qu'ensuite on remonterait jusqu'à eux.
Don: Regardez ça. C'est bien notre agresseurs. Vol, extorsion, et agresseurs.
David: Le plus vieux a falscifié ces notes de lycées, et le plus jeunes était jugé trop violent et ils l'ont jugé à aller dans une maison de redrescement.
Don: Et comment on peut les trouver?
David: L'adresse du compte est une adresse postales dans une petite agence de San perdro. Mais le gérant n'a vu personne depuis des semaines. Là ils peuvent être n'importe où.
Don: Ouais, on peut supposer que la fillette et la mère ont du pas mal les ralentir.
(Megan et David se regardent avec peu d'espoir dans les yeux.)
Don: Tant qu'on aura pas retrouver leur cadavre, on va tout faire pour les sauver.
Megan: Ouais.
Salle d'interrogatoire:
Don: (met la photo des deux frères Reynolds.) Où sont-ils?
Rémy: J'ai jamais vu ces types.
Don: Vous êtes sur? Car on a vu sur votre portable qu'ils ont empocher des gains pendant une dizaine de semaine.
Megan: Et on sait que Martin Rausch était l'un de vos client.
Don: Je vais être aussi clair que possible. On peut faire une lien entre ça et ce kidnaping. Et ce lien c'est qui?
Megan: Donc, Si jamais vous savez où ils sont, c'est le moment de le dire.
Rémy: J'en sais rien. Je vous jure que j'en sais rien.
Don: Comme si on allait vous croire.
Rémy: D'accord...Rausch avait un Max de dettes. Ils ont dit que si Rausch ne payait pas, c'était moi qui allait payer. D'une façon ou d'une autre.
Don: Donc, votre soeur est partie braquer la bijouterie?
Rémy: Ca devait pas être compliqué. Elle entrait, elle montrait la photo, elle prenait les bijoux. Et moi je la reprennais et je déposer les diamants sur le parking. Elle ne l'a fait que pour m'aider. Pour me sauver la vie.
Couloir du FBI:
Don: Donc Martin Rausch est un joueur. Un jour il perd beaucoup et il ne peut pas rembourser Rémy.
Megan: Ce qui met Rémy en difficulté avec ces commenditaires.
David: Avec les dettes pareils, ça m'étonne qui n'ont pas descendu Rausch.
Don: Les morts ne payent pas. Eux ce qu'ils voulaient récupérer c'étaient leur fric.Ils ont découvert qu'il était bijoutier.
Megan: Ensuite ils ont enlevés sa femme et sa fille et obligent Rémy a cambrioler la Bijouterie de Rausch. Pas mal comme plan.
Don: Excellent tu veux dire. Comme ça ils récupérer plus que leur fric, et ainsi ils étaient sur que Rausch ne les balanceraient pas.
David: Il a eu juste un truc pas prévu. C'est le garde.
Colby: C'est le compte rendu des appels téléphonique. Il y a Trois heures. Quelqu'un l'a appelé sur le portable de sa femme. On ne sait pas qui l'a appelé, c'est un numéro inconnu.
David: Ils ont apellé sur son portable à elle?
Colby: On dirait.
David: On peut plus remonter juqu'au Reynolds.
Don: Qu'est ce que Rausch a à leur donner maintenant? On sait qu'il n'a plus un sou.
Bijouterie:
Vendeuse: En effet. Martin est passé tout à l'heure. Je lui ai dit qu'il n'était pas nécessaire qu'il vienne après ce qui lui arrive en ce moment.
Don: Il a put voir certain Bijoux? A-t-il put voler quelque chose?
Vendeuse: Mais pourquoi il se volerais lui même?
Don: A-t-il touché au Bijou?
Vendeuse: Non, l'assurance a mis tout sous clé depuis le Hold-up. Ils veulent faire l'inventaire avant la réouverture.
David: Réflechissait. Il y a-t-il d'autre bijoux que l'assurance n'a pas mis sous clé?
Vendeuse: Euh...Non.
Don: C'est là que vous réparez les bijoux?
Vendeuse: Oui.
David: Ils ne font pas partie de L'inventaire?
Vendeuse: Non.
Don: On peut voir?
Vendeuse: (ouvre tout les tiroirs et s'étonne.) Ce n'est pas vrai!!! Il n'y a plus rien!!
Don: Qu'elle était leur valeur?
Vendeuse: J'en sais rien...Je dirais environ 50 000 ,60 000 dollars au moins.
David: Merci.
Bureau du FBI:
On voit une vidéo surveillance de l'extérieur de la bijouterie.
Megan: Oui, C'est Rausch qui emporte les bijoux à réparer.
Don: On est encore loin du compte.
Megan: Oui, mais c'est déjà ça. Il met ce qu'il peut du moment que ça peut sauver sa famille.(se reléve de sa chaise.) J'y pense. Au sud c'est la 101.
Don: Même sachant qu'il va au sud, il est parti il y a 30 minutes. Ca ne change rien.
Charlie: Si ça change tout. (tapote le clavier de l'ordinateur pour arriver sur une carte.) C'est le Site de PeMS, le systhéme de surveillance électronique de la circulation. Pour ce site, ils ont consulté des étudiants de troisiéme cycle de la Fac. J'ai participé à son élaboration. (Illustration du fonctionement du sythéme.)
Des capteurs ont été intégré dans le revêtement de la chaussé. Ils comptent les voitures, les camions et surveillent la circulation. Ces données sont envoyés à l'un des ordinateurs de la fac tout les environs 30 secondes. PeMS a été conçut pour prévoir les meilleurs itinéraires dans un temps minime.Avec lui on peut déterminer la fluidité et la circulation au moment où Rausch a prit la route. En prennant en Compte ces données et les heures de départs...
Megan: Où c'est de la maniére présenter à Harvard. Sachant qu'un train quitte la gare à cinq heures précise...
Charlie: (rigole.) Je ne fais qu'apliquer la théorie constructale, liée au points et volumes. En faite, la circulation a la même caractéristique qu'un fluide. Les accidents, les obstacles obligent le fluide a augmenté ces performance en réduisant sa résistance. On suppose que Rausch connaît cette brettelle aussi bien que n'importe qui. Et comme tout le monde, il réduira sa résistance en cherchant l'endroit ayant le moins d'embouteillage pour aller au plus vite à sa destination.
Megan: Oui, mais Charlie, je ne vois pas en quoi ça pourrait nous aider de trouver là où il est.
Charlie: En faite je n'en sais rien. Pas exactement, enfin pas encore. Mais ce que je peux vous dire pour l'instant. (prend une carte.) Vous aviez dit qu'il prennait la 101 sud?
Megan: Oui.
Charlie: Bon eh bien, je peux déjà vous définir une zone proximal où il se trouve.
Don: Deux minutes. On dirait la zone dans laquelle Rémy devait déposer les diamants après le Hold-up?
Megan: C'est trés juste.
Don: C'est ça regarde. Voilà le parking.
Dehors, prés du Parking:
Dans une voiture David et Don arrivent près de la voiture de Rausch.
David: C'est la voiture de Rausch.
Don: Oui je la vois. (dans un takie walkie.) Ici l'agent Don Eppes du FBI. Il me faut deux équipes pour Boucler des rues à Los Angeles. Entre Temple Street Au nord et la deuxiéme au sud.
Voix: Bien Reçu.
Don: (descend de la voiture. S'approche avec David de la voiture en gardant sa main près de son arme.)
David: J'ai l'impression qu'il est à l'intérieur.
Don: M.Rausch? Qu'est ce que vous faîtes là?
Propriétaire: Il ne m'ont pas rendu ma famille.
Don: Monsieur veuillez descendre du véhicule s'il vous plaît.
David: Qui ne vous a pas rendu votre famille?
Propriétaire: J'étais persuadé qu'en leur donnant quelques bijoux...Mais il n'y avait pas asser. Pour eux ils en fallait plus. Mais je n'ai rien de plus à leur donner.
Don: Avaient-ils une preuve qu'elles étaient avec eux?
Propriétaire: Oui...(donne une photo à Don.)
Don: Ce n'est pas le même endroit. L'autre photo a été prise ailleurs.
Propriétaire: Je ne l'ai reverrais jamais.
David: Ne dîtes pas ça. On en sait rien.
Don: (alors que David prend le portable.) C'est sur ce téléphone qu'ils vous ont appellé?
Propriétaire: Euh, oui... Tout ça c'est de ma faute. Ca ne devait pas se passer comme ça.
Don: Que voulez vous dire exactement?
Propriétaire: Ils devaient attendre quelques heures le temps que je leur raméne les diamants. Ils devaient les relacher aprés.
Don: Attendez. Vous étiez au courant? Depuis le début?
Propriétaire: Ils m'on dit qu'ils me tuerait. Vous comprenez? Il n'y avait aucune autre solution, aucune autre solution pour toute ma famille.
Don: (prend son téléphone portable.) Oui on est avec Rausch...
Salle d'interrogatoire:
Megan: Rausch ne nous est d'aucune utilité. Il ne sait pas où elles se trouvent. Quand je pense que j'avais de la pitié pour ce salopard.
Don: Oui, comme tu le dit. Il c'est bien foutu de nous.
Megan: Bon encore le Hold-up ça je peut comprendre. Mais comment on peut impliquer sa famille dans une histoire d'enlévement?
Don: Comme tu l'as dit toi même. Il savait que l'on aurait de la peine pour lui. Ce qui permettait de se protéger.
Megan: Qui irais soupçonnait le pauvre homme par pitié que toute sa famille a été volatilisé? On l'a pris pour une victime.
Don: La bonne nouvelle, c'est que la mère et la fille étaient encore en vie.
Megan: Comment tu peux être sur?
Don: La deuxiéme photo a été fait dans un autre endroit. S'ils les avaient pas tuées. Pourquoi les emmener ailleurs?
Megan: Oui, mais maintenant, ils savent qu'ils ne peuvent plus rien tirer de Rausch. Pour Parier il avait même été bloquer toutes ses cartes de crédits.
Don:Les cartes de crédits c'est ça!
Megan: De quoi c'est ça?
Don: les cartes de Crédits. Rémy n'accéde pas aux cartes de crédits, c'est un autre compte qui s'occupe des clients.
Megan: oui, mais ce site nous a mené dans une impasse. Ca nous a rien donné.
Don: On ne peut pas en être sur tant que Charlie n'aura pas essayer.
Calsci: Bureau de Charlie.
Charlie: Merci d'être venue aussi vite. J'espére que cela ne te met pas trop mal à l'aise?
Amita: C'est plutôt étonnant, mais pas du tout.(tapote du son ordinateur portable.) Les agents du FBI avaient raison. En cherchant sur le site on arrive tout droit en Chine.
Charlie: Oui, mais ils ne sont pas en Chine, et ils n'ont pas d'accés internet via la Chine. Ca n'est qu'une ruse. Il se cache.
Amita: Qu'il se cache ou non le résultat c'est qu'on attérit en Chine.
Charlie: Bon d'accord, d'accord, d'accord. Attend une minute. Juste une minute. Lorsqu'un visiteur entre dans ce site, il reformule le code d'une certaine façon non?
Amita: Oui.
Charlie: Oui, Alors est-ce que l'on peut pas remonter à l'ordinateur grâce au code?
Amita: Eh bien...Il faudrait avoir les données spécifiques à ce visiteurs. Il y a des centaines voir des milliers de gens qui se connecte.
Charlie: Mais seul ces deux hommes sont connecté pour encaisser les paris?
Amita: Oui, certes mais, on a toujours besoin de leur données à eux pour les isolés.
Charlie regarde une orange, et les quarts d'orange.
Charlie: (prenant une orange.) Les fractions, plus précisément dans une suite de Farey.
Amita: Une suite de Farey?
Charlie: Disons qu'on découpe une orange en quartier. Ou plutôt des oranges. (illustration de la théorie de Charlie.)
Mais en suivant une régle. De ne jamais les découper de la même façon. En d'autre termes, on coupe la première orange en 2, la deuxiéme en Trois, la troisiéme en 4, la suivante en 5 est ainsi de suite. Du coup on obtiendra des tas de quartier d'orange de taille varié.Mais si on les place du plus petit au plus grand, on obtient une suite de Farey. Je sais que c'est une façon assez ésothérique de voir les fractions, tout de fois, que l'on les retrouve souvent dans les paris. Ceux sont les bookmakers. Tu les as tes données spécifique.
Amita: Ca veut dire, un neuviéme pour 8 contre 1, ou un septiéme pour 6 contre 1, et deux tiers pour 2 contre 1.
Charlie: Exactement.
Nos deux mathématiciens s'échangent des sourires.
Bureau du FBI:
Don: (au téléphone.) D'accord, donc les fractions représentent les paris en Ligne.
Charlie: (à l'autre bout du fil.) Ouais c'est ça. Elles ménent jusqu'à compte internet d'un réparateur de bateau à San Pedro.
Don:Où tu as dit? A San Pedro? C'est là que les Fréres Reynolds ont loué une cartes postales.
Port:
On peut voir des agents du FBI armé se préparant à intervenir sur les lieux. Colby, David et Don sont avec Eux. Ils s'approchent d'un entrepôt. Des agents placent des explosifs sur la porte. Dés que la porte a explosé, ils pénétrent dans l'entrepot, tout en hurlant leur credo habituel. Là il y a deux hommes, se levant. L'un d'eux veut prendre son arme, mais Colby lui met une balle dans la jambe.
Don: Où sont-elles?
Homme: De quoi vous parlez? (vois son frère qui est blessé.) Et mon frère n'ont plus ne sait rien.
David: Don, elles ne sont pas là. Aucune tace d'elles.
Colby: on arrive peut être trop tard.
Don: Non. On fouille tout. Bateau, quai. Allez!!!!
David, Don et Colby vont à l'extérieur. D'autre agents restent avec les deux frères.
Don donne des ordres pour répartir les équipes dans leur recherches.
Soudain on entend des cris.
Colby: Ohlà. Doucement. Silence...Silence.
???: Au secours, au secours!!!!
Don: (montrant un autre entrepot.) Je les entends, elles sont là. Va me chercher quelque chose pour défoncer la porte. Je suis l'agent Don Eppes du FBI. On vient vous chercher.
???: Faîtes nous sortir je vous en supplies.
Don: restez calme madame on arrive. (il prend un pied de biche et casse la serrure.) Là on est là. Tout est fini. Vous n'êtes pas blessé? Ca va ma puce? Aller. On retre à la maison.
Bureau du FBI:
On voit le propriétaire dans la salle d'interrogatoire. Soudain sa femme et sa fille arrivent et se jettent dans ses bras.
Fille: Papa!!!!
Propriétaire: Ca va ma puce?
Femme: Oh, chéri...Je suis heureuse que tu n'a rien. (soudain le propriétaire se lévent, on entend des bruits de menottes. La femme étonnée regarde avec des grands yeux son mari.) Mais qu'est ce que ça veut dire?
Don: Dites lui ou je m'en charge.
Femme: Me dire quoi? Martin?
Megan: (à la petite fille.) Ma chérie. Tu viens on va chercher un truc à manger pendant que papa et maman discutent.
Une fois sortis, on voit M.Rausch tentant de s'expliquer. Sa femme lui donne un baffe et s'en va.
Maison des Eppes: Garage.
Charlie est seul entrain de jouer au Air Hocket Quand soudain arrive Larry.
Larry: Expression pensive et morose caractéristique du romantique noyé dans la perplexité?
Charlie: Larry. Ce n'est pas un drame que notre soirée est explosé en vol. Je suis peut être capable d'accepter le fait que l'on soit pas compatible, le fait est que si ça ne marche pas, on ne fait pas rien et on passe à autre chose.
Larry: Oui c'est la pierr angulaire de toute démarche scientifique.
Charlie; Oui mais...le truc c'est que lorqu'on travaille ensemble, on discute, on parle, on s'amuse. Il y a une énergie. Mais je ne comprends pas, pourquoi lorsqu'on sort du bureau ça ne fonctionne plus, pourquoi on a aucun autre sujet qu'on a envie de parler.
Larry: Je remets une affirmation sous jacente que je remet totalement en question.
Charlie: Ah oui? Laquelle?
Larry: Eh bien qu'il vous faut obligatoirement d'autre sujet à aborder.(le visage de Charlie reste étonné.) On voit des couples qui sont incapables de parler politique, cinéma ou encore..
Charlie: J'aime le cinéma. Je peux en parler. J'ai vu le film avec les pinguoins.
Larry: Oui, mais quand je vous regardes, je vois esprits qui communique avec le niveau le plus pur où un homme et une femme puissent employés pour se rejoindre. Quoi qu'il y en a bien un autre.
Charlie: Le chant koral [note: Je ne sais pas si ça s'écrit comme ça.]
Larry: Oui ça marche aussi.(il envoie la palette.) Le premier arriver à 10.
Charlie: Larry je te préviens je passe des heures à jouer à ce jeu.
Larry: Mais qu'est ce que tu crois, moi aussi charlie j'ai été étudiant.Allez, ma physique contre ta géométrie. (envoie la palette.)
Pour finir on voit les deux hommes entrain de jouer leur match de air Hocket.