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#103 : Le patient Zéro

 

Don et Charlie commencent une course contre la montre quand un virus mortel frappe plusieurs personnes de Los Angles. Serait-ce du bioterrorisme … ou quelque chose d’encore plus effrayant ?

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Le patient Zéro

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France (redif)
Lundi 16.01.2023 à 15:05

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103 – LE PATIENT ZERO.



En ville.


          Une femme emmène ses enfants à l’école mais son aîné ne se sent pas bien et est brûlant de fièvre. Elle décide de l’emmener chez le docteur.

         Dans une maison, une femme fait un malaise dans sa salle de bain. Son mari sur place est inquiet et est près d’elle.

         Deux amis quittent leur travail et attendent le bus mais l’un d’elle, s’endort sur le banc.

         Plus tard, plusieurs voitures sont à l’arrêt devant une maison. Beaucoup de personnes s’affairent et sont équipés de combinaison lorsqu’une voiture noire arrive. Il s’agit de Don et Terry, nos agents du FBI. Une femme vient se présenter à eux, le commandant Lee Havercamp de la santé public. Beaucoup de gens tombent malades et elle pense à un virus mais ne sait pas encore lequel. Au FBI, ils vont se concentrer sur le bioterrorisme. Ils ont fait appel à un grand mathématicien agrémenté par la NSA pour travailler sur l’affaire. Don est surprit de voir arriver son frère.

 


Générique de début.

 


Au bureau du FBI.


          Don et Lee avertissent tous les agents de la nouvelle enquête en cours et donnent leurs ordres.

         Charlie leur explique plus tard que le problème est complexe. D’après ce qu’il a, il pense que la contamination est partie du centre ville mais il aurait besoins de plus de données.

 


A l’hôpital.


          Don interroge la mère de famille dont le fils est mort à cause de cette maladie mais la mère ne sait pas trop ce qui a pu se produire.

         Terry interroge le mari de la femme tombée dans la salle de bain. Elle collecte de nouvelles informations.

         David interroge l’amie de la jeune femme tombé malade qui s’était endormi en attendant le bus.

         De son côté, Charlie est resté au FBI et travaille avec Lee.

 


Chez les Eppes.


          Charlie est assis parterre et travaille sur la table basse lorsque son père arrive. Une discussion s’ensuit entre les deux hommes. Charlie pose beaucoup de questions à son père qui lui demande s’il le surveille.

 


Au bureau du FBI.


          Les agents se résument ce qu’ils ont pu apprendre de leurs interrogatoires. Ils pensent que quelqu’un est derrière tout ça et ils doivent le retrouver.

         Charlie est dans un bureau avec David et travaille avec les données qu’ils ont. Charlie a pu préparer quelques petites choses qui pourraient les aider à trouver l’endroit où à démarrer la propagation de la maladie. Sur ses schémas, la propagation ressemble à une plante. Lee et Terry arrivent avec des dossiers de nouveaux malades que Charlie prend aussitôt pour les rajouter au schéma. Les nouvelles données forment deux arbres l’un allant vers le nord et l’autre vers le sud. Le point de départ est la gare de l’union.

         Charlie leur annonce une mauvaise nouvelle. Le virus est celui de la grippe espagnol qui a fait beaucoup de victimes des années auparavant car il n’y a pas de vaccin.

 


Chez les Eppes.


          Don et Charlie ne veulent pas que leur père aile au centre-ville à cause de l’épidémie mais étant donné qu’il s’agit d’un dossier top confidentiel, ils ne peuvent donner aucun détail à leur père. Comprenant que quelque chose se passe mais qu’ils n’ont pas le droit de lui dire, Alan décide de ne pas y aller pour rassurer ses fils.

 


Au bureau du FBI.


          Don et Charlie arrivent dans les bureaux en discutant lorsque Terry arrive pour lui remettre un dossier parlant d’un chercheur.

 


Au laboratoire.
 


            Don discute avec le chercheur en question sur le virus en lui-même. Il lui explique d’un virus peut revenir et contaminer des personnes des décennies après. Ils sont trois scientifiques à travailler sur la souche du virus de la grippe espagnole. 




Au bureau du FBI.


          Terry interroge la jeune chercheuse/microbiologiste.  Après un certains moment à lui poser des questions, Terry sort rejoindre Don pour en parler.

 


Chez le troisième chercheur.


          Don et David sont chez le dernier chercheur en question pour l’interroger mais il est assez bizarre. Il est à la fois inquiet et fasciné par ce qui s’est produit. Don et David pensent qu’il pourrait faire un très bon suspect n°1.

 


En voiture.


          Don discute avec son frère de ce qu’il a apprit de par les chercheurs. Charlie doute quand à son idée de base du virus qui partirait de la gare centrale. Don lui demande d’arrêter de douter de lui. Qu’ils doivent retrouver la source du problème.

 


Sur le campus.


          Charlie vient demander de l’aider et des conseils à son meilleur ami Larry qui dans un langage assez compliqué, lui donne de nouvelles idées.

 


Au bureau du FBI.


          Charlie annonce à son frère que ce n’est pas par le train que le virus circule mais par la voix des bus allant l’un vers le nord et l’autre vers le sud. Au nord, il y a plus de décès que dans le sud. Charlie suggère qu’il y ait deux souches de virus différents.

         Plus tard, Lee leur annonce qu’il s’agit bien de deux souches différentes. Ils se retrouvent ensuite en vidéo conférence avec un chercheur d’Atlanta.

 


En ville.


          Toute l’équipe se trouve au terminus des bus et ont donc comprit que les virus partaient bien de la. Ils vont donc maintenant visionner les cassettes de vidéo surveillance pour trouver la personne qui aurait pu déposer les souches.

 


Chez les Eppes.


          Charlie s’inquiète pour son père car il est finalement aller au foyer qui se situe au centre ville. Alan lui dit que lui aussi est inquiet pour son fils aîné lorsqu’il est sur ses enquêtes et pourtant il ne l’empêche pas de sortir. C’est alors que Alan est prit d’une quinte de toux, ce qui inquiète fortement Charlie. 




Au bureau du FBI.


          Lee et Charlie ont comparé deux souches différentes qui ont des similitudes et de par lequel ils peuvent concevoir un traitement pouvant stabiliser les malades. Don entre alors avec le premier chercheur. Il est venu leur apporter des lamelles de souches de la grippe espagnole pour le cas où il voudrait les examiner.

 


Dans un restaurent.

          Larry est en grande conversation sur les trous noirs avec des amis chercheurs lorsque Charlie arrive et est invité à s’asseoir. Il pose alors de nouvelles questions à son ami qui lui répond vaguement comme à son habitude mais qui aide bien Charlie.

 


Au bureau du FBI.


          Terry et Don parlent de la petite amie du dernier chercheur qui finalement est redevenu célibataire.

         Ils ont donc convoqué le chercheur pour lui poser de nouvelles questions. Il lui annonce également qu’il est leur suspect n°1 et qu’il est donc peut-être la personne qui a libéré les deux souches.

 

A l’hôpital.


          Charlie est auprès d’une des patientes malade du virus de la grippe espagnole. Don le félicite pour le fait d’avoir contribué à l’élaboration du traitement. Don arrive et Charlie lui pose des questions quant à la souffrance de leur mère lorsqu’elle était non loin de mourir du cancer. Les frères continuent de discuter mais Don dit quelque chose à Charlie qui lui déplait et quitte l’hôpital.

 


Au bureau du FBI.


          Ils ont trouvé de nouvelles pistes lorsqu’ils sont appelés pour visionner les cassettes de vidéo surveillance. Il y découvre alors le scientifique Weaver qui les « aide » depuis le début de l’enquête.

         Don appelle alors le scientifique qui ne travaille pas aujourd’hui. Il est en voiture mais le FBI parvient à le localiser. Ils se mettent donc en route.

 


En ville.


          Weaver s’apprête à entrer dans une église avec un sac plastique à la main. Le FBI arrive alors et l’empêche d’entrer. Lee Attrape le sac et se met à l’écart pour voir ce qu’il contient alors que Don, David et Terry arrêtent Weaver. Son sac ne contient que des cierges. Il voulait en allumé un par victime.

 


Chez les Eppes.


          Alan et Charlie mangent tranquillement sur la terace lorsque Don arrive. Alan se lève pour aller au Bowling avec un ami. Les deux frères restent alors seuls et discutent. Don n’en revient toujours pas que son jeune frère ait été consultant pour la NSA.

 


Générique de fin.

 

Episode 2 saison 1 Le patient zéro

 

Voix off à la radio : Merci d'être avec nous, il est tout juste 8h05 sous le soleil du sud de la Californie et la température est de 18 degrés. La circulation est plutôt fluide hormis deux ou trois points noirs...

 

Dans la voiture des Kramer

 

Garçon 1( chahutant) : Tiens prends ça...

Garçon 2 : Oh arrêtes!

Mme Kramer : Jouez gentillement...ou ne jouez pas du tout.

Joshua ( se tenant le ventre) : Maman, je crois que je suis malade.

Mme Kramer : Ca t'apprendra à lire en voiture, t'avais qu'à faire tes devoirs hier soir.
Joshua :
C'est sérieux, j'ai vachement mal au ventre.

Garçon 2 (se moquant) : Joshua va vomir...oh!

Mme Kramer(s'inquiétant) : Tu as peut-être attrapé une gastro...tu crois que tu peux aller en cours?

Joshua (fiévreux): J'en sais rien...j'suis vraiment pas bien.

 

Appartement d'un couple

 

Mari : Chérie, tu sais où est ma cravate à rayures bordeau ?

Femme(toussant) : Au pressing!

Mari : Et la grise et rouge?

La femme tousse de plus belle dans la salle de bain.

Mari (parlant moins fort): Parce que y'en à quand même qui bossent aujourd'hui!

Femme (toussant): Je t'ai entendu...

 

Dans la rue

 

Deux amies, employées dans un supermarché, rentrent du travail et se rendent à l'arrêt d'autobus.

Fille 1 : Quand tu m'as dit que tu m'avais trouvé du travail, tu m'as pas parlé du travail de nuit...

Fille 2 : Oh hé! Plains-toi, tu vas pouvoir dormir toute la matinée...

Fille 1 : Faudrais que je dormes toute une semaine alors...

 

Dans la voiture des Kramer

 

Mme Kramer dépose ses deux plus jeunes fils à l'école.

Mme Kramer : Au revoir les garçon!

Garçons : Au revoir maman !

Mme Kramer(s'inquiétant et posant sa main sur le front de Joshua) : Josh! Josh! Mon chéri?...Oh non, Josh, mais tu es brûlant...

Joshua(grelottant) : Je suis frigorifié!

 

Appartement

 

Mari : Tu comptes sortir un jour?...Chérie? (un choc se fait entendre derrière la porte de la salle de bain) Tout va bien?

Le mari se précipite.

 

Dans la rue

 

Les deux amies s'asseyent sur le banc de l'arrêt de bus. La fille 1 tousse énormément.

Fille 2(un peu inquète): T'as chopé la crève? Parce que si c'est ça, t'approches pas de moi, je peux pas me permettre de pas aller au boulot demain.

Fille 1(toussant): Non! Faut seulement que je dormes...

 

Dans la voiture des Kramer

 

Maman(de plus en plus inquiète): Je t'emmène directement chez le Docteur Burke!

 

Dans l'appartement

 

Mari (ouvrant la porte de la salle de bain) : Linda? Tu vas bien ?

Il découvre sa femme allongée inconsciente.

Mari : Non! C'est pas vrai! Linda? Réponds-moi!...Chérie, réponds-moi!

 

Dans la rue, à l'arrêt de bus

 

La fille 1 s'est endormie sur le banc, son amie essaye de la réveiller.

Fille 2 : Réveilles-toi, le bus arrive!

 

Dans la voiture des Kramer

 

Mme Kramer(s'inquétant de plus belle): Josh?

Joshua respire difficilement, il est quasiment inconscent.

Mme Kramer(secouant Joshua) : On est presque arrivés chez le docteur.

 

 

Devant la maison des Kramer

 

Agents du CDC : On suit la procédure habituelle, désinfection et mise en quarantaine.

Des hommes en tenue de protection rentrent un brancard surmontés d'une tente d'isolation dans la maison des Kramer. Don et Terry arrivent.

Evercamp : Commandant Lee Evercamp de la santé publique...

Don : Don Eppes, FBI.

Terry : Terry Lake, bonjour!

Evercamp: Notre première victime connue est Josh Kramer, 16 ans, il est tombé malade samedi...On a une trentaine de cas suspects dans toute la ville de Los Angeles...avec 6 décès jusque là.
Terry :
De quoi ça à l'air?

Evercamp : C'est pas l'antrax, ni la variole...probablement un virus, mais on a pas encore isolé les toxines, on est en train de faire les autopsies au département de la santé, mais tant qu'on a rien de définif, on garde tous les résidents en quarantaine.
Don :
Au FBI, on va se concentrer sur la piste du bio-terrorisme...Où ça a commencé, l'endroit où le virus à pu être répandu...

Evercamp : Oui! Il faut faire une analyse vectorielle.
Terry :
Pour relier entre elles les victimes?

Evercamp(acquiessant): Et prévoir la propagation de la maladie...La complexité des calculs nous oblige à faire appel à un mathématicien de haut niveau. J'ai demandé à l'un deux de prendre en charge le dossier...

Don: Notre consultant en maths est très doué et disponible immédiatement!

Evercamp : Je serais ravie de faire appel à lui mais c'est un dossier top secret, concernant la sécurité nationale.

Terry : Bio-terrorisme! Il faut au moins un mois pour être déclaré apte sur ce genre de dossier.

Don : Le vôtre, il est apte?

Evercamp : Oui! Il a toutes les autorisations, d'aileurs le voilà!

Une voiture se gare tout près.

Evercamp: Il enseigne à l'université...

C'est Charlie qui arrive.

Evercamp : Voici le Docteur Chales Eppes, c'est lui qui va faire l'analyse vectorielle...

Charlie(embarrassé) : Bonjour Don, bonjour Terry.

Terry: Bonjour Charlie!

Charlie : J'ignorais que vous travailliez sur ce dossier...

Don(étonné) : Mais vous vouliez quelqu'un qui soit habilité ?

Evercamp: Le Docteur Eppes est habilité!

Don: Vous êtes sûr?(se tournant vers Charlie)C'est vrai?

Evercamp : Ca pose un problème?

Don : Non! Sauf qu'il ne me l'a jamais dit!

Charlie : Je n'étais pas sensé le faire!

Don : C'est vrai! Non, Charlie est mon frère et il est le consultant dont je vous ai parlé, j'ignorais...

Evercamp : On va emmener la mère du jeune garçon qui est décédé, elle développe les mêmes symptômes...

Don : Il faut trouver ce que c'est avant que ça échappe à tout contrôle.

La mère de Josh est emmenée, inconsciente, sous les regards des voisins confinés chez eux et des agents du FBI, inquiets.

 

Générique de début

 

Au siège du FBI

 

Devant tous les agents chargés de l'enquête.

Don : Les symptômes a prendre en compte sont nausées, forte fièvre, douleurs intestinales.

David : Oui, ceux de la grippe ou d'une intoxication alimentaire, enfin du moins...

Don : Avec ça, vous tombez malade au petit déjeuner et vous êtes mort à l'heure du diner, ce à quoi on a affaire est rapide et dangereux.

Evercamp : La mort est due à une défaillance respiratoire, nous n'avons pas encore identifié ce qui est à l'origine de tout ça, on suppose qu'il s'agit d'un agent infectieux, sans doute propagé par voix aériennne de type viral.

Terry : Doit-on prévenir la population?

Evercamp :Cet agent pathogène est concidéré comme pouvant être une arme de destruction massive, donc toute cette enquête est top-secrète.
David : Et si la maladie se propage ?

Evercamp : Il est impératif que nous évitions tout mouvement de panique. Si la population quitte Los Angeles, elle va répandre la contagion encore plus vite et encore plus loin.

Don : Tous les services sanitaires sont mobilisés pour isoler le virus. Le FBI cherche qui et où. La clef du problème étant où. Où tout à commencé.

 

En plus petit comité.

Charlie(expliquant en s'aidant d'un tableau) : La propagation d'une maladie infectieuse est un problème complexe à plusieures variables. Par exemple, une femme contaminée entre dans une pièce vide, 4 personnes saines y entrent à leur tour, 2 seulement sont contaminées, mais toutes les 5 vont dans d'autres pièces et sont rejointes par 4 nouvelles personnes non infectées. Le nombre des malades augmente et ainsi de suite. A l'heure où nous en sommes, on est face à l'équivalent de 100 pièces. Il est très difficile de remonter à la source. Pour cette seule femme ça nécessite une équation complexe d'analyse statistique et d'analyse de graphes.

Terry : Ceux qui sont exposés ne tombent pas tous malade.

Evercamp : Exactement, mais on ignore pourquoi.

Don : Bon, pour l'instant, on a quoi?

Charlie: On a des zones à forte probabilités communes à au moins 2 victimes, le centre-ville est commun à 5 victimes. C'est peut-être parti de là mais il est trop tôt pour en être sûr. Voici les résultats d'une analyse rapide des activités des victimes d'après le contenu de leur interrogatoires...rien de vraiment représentatif, mais j'espère que le nombre des malades croissant, on en aura...j'espère pas que les gens tombent malades.

Don : On le sait, Charlie. Si j'ai bien compris, tu aurais besoin de davantage de données.
Charlie : C'est ça merci! A la fois pour trouver le point d'origine et pour suivre la propagation.

 

A l'hôpital

Don interroge la mère de Josh.

Don : Durant les jours précédents, Josh est-il allé dans des endroits où il n'avait pas l'habitude d'aller ?

Mme Kramer: Non, mon mari est rentré bien plus tard , la veille du jour où Josh est tombé malade.

Don : Plus tard de son travail?

Mme Kramer : Il revenait d'un séjour à San Diego, juste quelques jours.

 

Dans la rue

Terry interroge le mari de Linda

Terry : Votre femme est-elle allée dans des endroits où elle n'avait pas l'habitude de se rendre ?

Mari : On a passé une semaine classique...elle a travaillée, j'ai travaillé.

Au siège du FBI

David interroge l'amie de la caissière de supermarché.

Fille 2 : C'est vrai hier, elle est allée au cinéma...mais, moi aussi et je vais très bien.

 

Dans la rue

Mari : Dans le centre, on travaillent tous les deux dans le centre.

 

Au silège du FBI

Fille 2 : Le film on l'a vu à Van Huise, est-ce que c'est important?

 

Dans la rue

Terry : Et vous habitez?

Mari : Hancock Park

 

Au siège du FBI

Fille 2 : Glendale

 

 

Dans la maison des Eppes

 

Charlie travaille sur la table du salon

Alan(entrant): Bonjour!

Charlie(cachant ses recherches) : Salut!

Alan : Pas de cours aujourd'hui ?

Charlie : Non!

Alan : Tu travailles sur une des affaires de Don ?

Charlie : C'est de la... génétique...pour un collègue qui travaille au département de biologie.
Alan : Ah! Il ou elle?

Charlie : Hein?

Alan(enfilant sa veste) : Ton collègue ? Homme ou femme?

Charlie : Quelle importance ?
Alan : Aucune! Je suis seulement curieux. Je me disais que peut-être tu...

Charlie: Tu sais quoi papa...le jour où j'aurais une petite amie, je t'en tiendrai informé...en mettant une note sur le réfrigérateur!

Alan(sortant) : Entendu, c'est gentil.

Charlie : On peut savoir où tu vas?

Alan : A mon club de lecture.

Charlie : Et c'est où ça ?

Alan : Chez Phil, Raymond Avenue. Tu me surveilles?

Charlie : Non! Simple curiosité.

 

Au siège du FBI

 

David : Aucune revendication d'aucun groupe national ou international.

Don : Bien, des terroristes auraient revendiqués ou justifiés leur acte à travers une philosophie ou une stratégie.

Terry : Sauf s'ils ne peuvent plus revendiquer !

Don : Parce qu'ils ont été contaminés ou même tués?

Terry : C'est possible.

David : C'est une idée mais on part du principe qu'il y a un méchant. Et dans ce genre d'affaires, ils sont parfois plusieurs.

Terry: Oui! Mais, il est aussi possible qu'on se trompe de méchant.

Don : Tant que les services sanitaires ne confirment pas le contraire, on suppose qu'il y a quelqu'un derrière tout ça.

Plus tard, dans un bureau, Charlie et David travaillent sur ordinateur.

Charlie: Ce système de localisation va nous permettre de situer les victimes et de visualiser la progression de la maladie, tout ça en temps réel. Les malades sont répartis un peu partout à Los Angeles, de Long Beach à Santa Barbara. Si on le combine avec le rapport reproductif...d'ailleurs, j'ai tout écrit pour que ce soit plus clair.

David (observant le tableau rempli d'équations compliquées): Ah ouaie, c'est vachement clair!

Charlie : On obtient une modélisation de l'infection, soit une projection de la contagion, en l'associant au système de localisation, on obtiendra deux données essentielles : d'où ça vient, les personnes, un lieu, existe t-il ce que les services sanitaires appellent "le patient zéro", et où ça va. Où se trouve les nouveaux malades qu'il nous faut localiser.

David : Ca ressemble à une plante!

Charlie : C'est une bonne façon de le voir, comme une plante. Quand un virus se répand, il pousse pour ainsi dire. L'arborescence est un modèle très courant dans la nature, depuis les cristaux jusqu'au séquoia géant. On a pas de données pour savoir d'où ça vient ni pour prévoir la contagion, mais dès qu'on les aura, on verra la forme des feuilles et des branches.
Evercamp(entrant dans la pièce) : Ca avance?

David : Pas très vite. D'autres données sur de nouveaux malades?

Evercamp : On en a 11 de plus.

Charlie : Très interressant! Une femme est venue chercher sa fille à la gare de Glendale, un homme a déjeuné sur Olivera Street, un chauffeur de taxi. Un chauffeur de taxi! Commandant, ces nouvelles données vont nous permettre d'y voir plus clair

Charlie (entrant lesnouvelles données dans son programme) : Regardez, la répartition des emplacements!

David : On dirait deux arbres poussant à partir d'une seule racine, une va vers le nord, une vers le sud.

Charlie : Les deux partants de la Gare de l'Union...12 des victimes y sont allées ou y sont passés, ou ont été en contact avec quelqu'un qui s'y est rendu.
Evercamp : C'est cohérent! C'est un important noeud ferroviaire, beaucoup de gens transitent par là.

David : Bravo, joli travail.

 

 

Plus tard, dans le bureau de Don

Charlie : Don! Je ne suis pas sûr de mon résultat, je n'ai pas eu le temps de vérifier son exactitude...j'arrêtes pas de me demander s'il est juste, si je me suis trompé de nombreux malades ne seront pas pris en compte.

Don : Testes ton équation autant que tu veux, mais nous on ne peut pas attendre.

Le téléphone sonne

Don : Eppes!

 

Plus tard, dans les bureaux

Terry : La Gare de l'Union a été fermée, officiellement, présence d'amiante sur les murs.

David : Cette gare est l'endroit idéal pour répandre un virus pour une contagion maximale.

Don (s'énervant): C'est ce que j'ai dit à Charlie sans aucun résultat.

Terry : C'est normal, tu parles de terrorisme, lui parle de maths.

Don (voyant Charlie le visage grave): Qu'est-ce qui y'a?

Charlie(arrivant) : Je viens d'avoir Evercamp au téléphone...il s'agit du virus pandémique de la grippe.

Don : Quoi? La grippe?

Terry : Pandémique? C'est la grippe espagnole?

Charlie : La grippe espagnole oui!

Terry : En 1918, il y a eu une épidémie extrèmement virulente qui a fait de terribles ravages. La grippe espagnole a tué énormément de gens partout dans le monde. Dans certaines villes, un habitant sur deux.

Don : Comment ils s'en sont sortis? Qu'est-ce qu'ils ont fait?

Terry :Rien! Il n'existe pas de vaccin!

Charlie : Ils ont attendu que le virus disparaisse de lui même.

Don : Combien de morts?

Terry: Rien qu'aux Etats-Unis, il y a eu 600.000 morts...

Charlie : ...en 6 mois!

Don: En 6 mois!

 

Devant la maison des Eppes

 

Don arrive, Charlie vient à sa rencontre.

Charlie : Je trouve qu'on devrait lui dire.

Don : C'est strictement interdit, on ne peut pas.

Charlie : C'est son jour de bénévolat, au foyer des sans-abris du centre, à seulement 5 rues de la Gare de l'Union.

 

Dans la maison des Eppes

 

Alan(s'énervant) : Et alors! La circulation au centre ville est toujours épouvantable!
Charlie : C'est pire que d'habitude, une horreur...

Don : ...Les feux ne fonctionnent plus à cause d'un accident, tu vas perdre ta journée dans les bouchons...

Charlie :... Et en plus je crois qu'il y a une manif...

Don : Oui!

Charlie : Une marche de protestation qui part...

Don : ...De la Bourse du Travail...

Charlie : ...Et qui va aller...

Don : ...Ca va être une grosse manifestation...

Charlie : Enorme...

Don : ...Oui, énorme...

Charlie : Tu devrais prévoir un truc plus marrant du genre...

Alan : Qu'est-ce que ...?

Charlie: Je sais pas tu pourrais aller...au bowling!

Alan : Au bowling!

Don : Ou au golf, tu dis toujours que tu rêves de jouer au golf, c'est un temps à aller se balader sur un green.

Alan : Ca fait deux ans que je suis à la retraite et un peu plus d'un an que votre mère est morte, désormais, il y a certaines choses que je tiens à faire...comme d'aider les gens qui en ont besoin et je me suis engagé à être au foyer aujourd'hui. Si je suis pris dans un bouchon, tanpis! Pas question que je laisse tomber pour aller jouer au golf ou au bowling!

Charlie : Même si on te disais qu'on a une excellente raison pour...

Don : Charlie! Non! Charlie!

Alan : Il est évident qu'il y a quelque chose que vous ne me dites pas...peut-être parce que...vous ne pouvez pas me le dire...mais, vous ne voulez pas que j'y ailles.
Don : C'est ça, je crois qu'il vaut mieux ne pas aller au centre ville... C'est bon? On peut en rester là?

Alan(sortant): Je prends votre sollicitude en concidération.

Charlie : Si seulement on pouvait lui dire de rester à la maison pendant quelque temps!

Don : Ben alors là, je te souhaite bonne chance.

Charlie : Quoi, il m'arrive de pas sortir d'ici pendant des mois...

Don (sortant): Le bowling!

Charlie : Ouaie, le bowling!

 

Au siège du FBI

 

Charlie: On aurait du suggérer à papa de prendre des cours de yoga.
Don : Tu peux être sûr qui se serait ruer dehors!

Terry(arrivant en courant) : Don, le virus provient peut-être d'un laboratoire. Quatre d'entre eux bossent sur des souches de grippe espagnole dont un ici à Los Angeles. Le médecin qui supervise les recherches est le Docteur Weaver.
Don : Oui, voyons ça.

 

Au laboratoire Gen-o

 

Dr Weaver : Il y a une cinquantaine d'années, des scientifiques ont retrouvés des victimes de l'épidémie en Alaska dans le sous-sol gelé. Ils ont retrouvé des fragments d'ARN du virus de la grippe espagnole dans les poumons d'un jeune soldat mort de cette maladie.

Don : Donc, vous avez pu reconstituer la souche de 1918?
Dr Weaver : Un virus peut rester en léthargie des décennies caché dans la nature avant de soudainement réinfecter et décimer la population. Par exemple, le virus Ebola en Afrique réapparait périodiquement. Il est vraisemblable qu'un de ces jours, la grippe espagnole ressurgira et provoquera des dégats majeurs.

Don : Et comme il n'y a pas de vaccin, l'épidémie touchera le monde entier.
Dr Weaver : C'est pourquoi, nous cultivons le virus. L'industrie pharmaceutique en aura besoin pour mettre au point le vaccin contre la grippe espagnole.
Don : Je vais devoir contrôler votre système de sécurité ainsi que vos stocks.

Dr Weaver : Bien.

Don et le docteur se dirigent vers les stocks.

Don : Aucun échantillon ne peut disparaitre sans que vous le sachiez ?
Dr Weaver : Non! La loi nous oblige à signaler tout incident aux services sanitaires.
Don : Et en ce qui concerne votre personnel. Pas de départ en vacances, de malades ou quelque chose dans le genre?

Dr Weaver : Non, du moins pas récemment. Nous ne sommes que 3 à travailler sur le virus. Moi, un jeune chercheur, Martin Grolsch...
Don : Grolsch...

Dr Weaver : Oui, et Jessica Avery, une micro-biologiste de l'Institut de Médecine de New York.

 

Au siège du FBI

 

Terry interroge Jessica Avery.

Jessica : Non, c'est impossible!

Terry : Pourquoi dites-vous ça?

Jessica : Parce que le virus de la grippe n'est manipulé que par des professionnels extrèmement expérimentés. Il y a des protocoles. Toute fuite est proprement impossible.
Terry : Selon vous, ça ne peut être que le résultat d'un acte délibéré ?
Jessica : Je dirais que parmis les scientifiques qui ont accès à ce virus, aucun ne ferait jamais ça.

Terry : Vous êtes sûre ? Vous les connaissez ?

Jessica : La plupart oui! Il se trouve que je les connais et ceux que je ne connais pas travaillent pour des gens que je connais. Ils mesurent tous parfaitement les risques. Ce que vous suggérez est tout simplement impossible.
Terry : Excusez-moi.

Terry sort de la salle d'interrogatoire et rejoint Don qui a observé avec la vidéo.
Don : Alors? Qu'est-ce que tu en penses?

Terry : Elle est...fascinante. Elle s'est forgée une image mythique du scientifique. Une sorte de dieu sans passion.

Don : Et tu trouves ça bien toi?

Terry : Je trouve le concept assez interressant. Le docteur sauveur, un peu comme l'incendiaire qui allume un feu pour être le premier sur les lieux.

Don : J'ai peur de tomber dans le cliché, mais pour moi un savant fou est largement plus fou que cette dame.
Terry : Les extrémistes n'ont pas toujours des yeux de maniaques. Souvent, ils agissent en toute bonne fois pour les pires raisons et quand ils les exposent, ils attendent qu'on y adhère.

Don(regardant sa montre) : Bien alors trouves-moi un motif qui soit rationnel pour une femme comme elle?

Terry : Démontrer le danger de ce genre de recherches, obtenir des financements, d'ailleurs, j'aimerais chercher de ce côté.
Don : Très bien. Je dois voir le troisième chercheur du labo pour vérifier si son regard est conforme à la norme. A plus tard.

 

Chez Martin Grolsch

 

Grolsch : Ma réaction? Ma réaction, c'est waouw ! La grippe espagnole vous êtes sûr?

Don : Oui ! Sûr et certain.

Grolsch: Question stupide c'est évident. Waouw!

Don : Vous travaillez directement sur le virus ?

Grolsch : Vous plaisantez! Je connais son génome mieux que ma fiancée!(à David qui regarde un peu partout)Vous cherchez quelquechose en particulier ?

David : Non, pas vraiment. J'ai remarqué une valise sur votre lit.

Grolsch : Ouaie ! Je vais à une réunion d'anciens élèves.
Don : C'est à dire?

Grolsch : Quoi?

Don : Quelle école? Quelle promo?

Grolsch : Y'a 15ans.

David : Vous avez été diplomé en quelle année?

Grolsch : En 90. Je sais que vous êtes là parce que je bosse chez Gen-o, mais c'est pas moi!

David : Comment ça?

Grolsch : Qui ai libéré le virus.
Don : Comment savez-vous qu'il l'a été?

Grolsch : Ben...sinon pourquoi viendriez-vous me parler de cette grippe. En plus, l'information commence à circuler dans le milieu scientifique.
David : Il nous faut les noms de tout ceux avec qui vous en avez parlé.

Grolsch : S'il vous plait, ça n'a rien d'illégal pour des biologistes d'échanger des informations. Vous admettrez que c'est une bombe cette information.
Don : Vous n'avez pas l'air tellement inquiet?

Grolsch : Vous plaisantez! Je connais cette saloperie mieux que vous, je sais exactement à quel point c'est dangereux. Ok! Je suis mort de trouille.

Don : Mais?

Grolsch : S'il a infecté la population et commencé à faire des victimes, alors la course au développement du vaccin est imminente. Les plus grands laboratoires pharmaceutiques dépendent de gens comme nous pour leur approvisionnement en virus.

David examine des objets sur une table.
Grolsch : Qu'est-ce que ...? S'il vous plait, touchez pas à ça!

Don : Il ne fait que son travail et d'ailleurs, j'aimerais jeter un coup d'oeil à l'étage...

Grolsch : Et bien non! Je refuse. Je n'ai rien fait de mal et j'aimerais que vous partiez.
Don : Vous en êtes sûr? J'insiste sur la grande importance de tout ceci.
Grolsch : Vous pouvez me faire confiance, j'en suis conscient. Ma carrière est sur le point de décoller...si ça ne me tue pas avant...

Don : Allons-nous en.
David : Merci de nous avoir reçu.

 

Dans la voiture de Don

 

Don : Ca pourrait très bien être Grolsch, ce qui ne veut pas dire que c'est lui. Il avait accès au virus et il habite à deux pas de la gare Centrale de l'Union.
Charlie : Sauf que les services sanitaires n'ont trouvé aucune trace de virus à la gare.

Don : Selon Evercamp, il ne peut survivre que quelques minutes hors du corps humain.
Charlie : On fait quoi si on se trompe depuis le début à propos de la gare?

Don : Arrêtes de douter. La gare est un site de dispertion classique, en particulier en cas de dispertion volontaire.
Charlie : Oui! Mais trop peu de victimes ont des liens direct avec les trains...

Charlie soupire, inquiet.
Don : Ca va ?

Charlie : Chaque minute qui passe...

Don : Oui, je sais. De plus en plus de gens sont contaminés...on fait tout ce qu'on peut ...
Charlie : Des pères...des mères...des enfants...Comment pourra t-on se le pardonner si on se trompe?

Don : Impossible !On ne peut pas se tromper!

 

Devant la bibliothèque de l'université

 

Charlie : Larry, tu as une minute?

Larry : Evidemment, puisque nous disposons d'exactement du même nombre de minutes quelle que soit l'heure me semble t-il?

Charlie : C'est vrai...Voilà, je travaille sur une analyse statistique qui contient des variables complexes et des vecteurs multiples...En fait, j'ai trouvé une solution en ce qui concerne le point zéro...mais je... Pour les spécialistes du terrain, elle est juste...ils en sont quasiment sûrs, mais moi...

Larry : Toi tu penses qu'elle est fausse mais tu doutes de toi parce que les spécialistes connaissent mieux le terrain.

Charlie : Oui! Et pour être honnête, leur réponse est assez logique...
Larry : Mais, Charlie, tu pars du principe que tous ces experts connaissent leur terrain aussi bien que tu connais les maths et c'est un principe que je trouve éminemment problématique...
Charlie : Je crois qu'en l'occurence...

Larry : Comment un résultat peut être à la fois logique et mathématiquement suspect? Comme tu aimes tant à le répéter : "les maths ce n'est que de la logique".
Charlie : Oui! Mais dans ce cas particulier...soit...

Larry : Ce qui est extrèmement fascinant dans la conversation que nous essayons d'avoir toi et moi, c'est le soin que tu mets à rester très évasif sur les véritables données de ce problème...comme d'habitude, tu as plutôt tendance à surexpliquer ce sur quoi tu travailles...j'en déduis que tu n'en parles pas parce que tu ne peux rien en dire...

Charlie : J'aurais tellement aimé pouvoir.
Larry : Non, non, non, ne t'en fais pas pour ça. Ma réponse est et reste la même : toujours s'appuyer sur les données.
Charlie : Tu as raison! Evidemment tu as raison, biensûr!

Larry : J'aurais moi aussi une question. Tout à l'heure, on s'est croisé au moment où j'allais entrer à la bibliothèque ou quand j'en sortais?

Charlie : Larry, tu venais d'en sortir.

Larry (soupirant): Ah, ma mémoire n'est qu'un souvenir, c'est vu.

Larry repart vers la bibliothèque

Charlie : Larry, tu en sortais!

 

Voix off dans les pensées de Charlie : Toujours s'appuyer sur les données...les malades peuvent arriver d'un même endroit ou s'il s'agit d'une contamination délibérée être passés au même endroit...un site de dispertion classique, un important noeud ferroviaire...beaucoup de gens transitent par là...

 

Au siège du FBI

 

Charlie explique sa nouvellle théorie avec un tableau

Charlie : Le virus était présent Gare de l'Union, mais ce n'est pas de là qu'il est parti, le point d'origine est le terminus des bus du centre ville.

Don : Les services sanitaires et la Santé Publique sont sûrs qu'il est parti de la gare...
Charlie : Selon eux c'est un site de dispertion volotaire logique, mais si on ne sait rien des motifs de la dispertion, comment peut-on affirmer qu'un site de dispertion est plus logique qu'un autre?

Don : Je comprends.
Charlie : Là, c'est la gare.

Don : Ouaie

Charlie : C'est la modélisation de l'épidémie, tu te souviens, un arbre qui pousse vers le nord et son reflet vers le sud.
Don : Ouaie, ouaie, ça j'ai compris.
Charlie : Pourquoi pas vers l'ouest ou l'est? Pourquoi le virus ne se propage pas tout assimut...parce qu'il n'était pas dans un train...on aurait retrouvé nos victimes parmis les passagers. Alors pourquoi notre virus ne se répend qu'au nord et au sud?
Don : Je n'en sais rien mais la Gare de l'Union est un point commun à toutes nos premières victimes...c'est peut-être pas le seul, ni même le plus significatif...

Charlie : On va voir ce qui ce passe quand je fais passer le vecteur par le terminal des bus.
Charlie intègre les données dans son programme. De nouveau points apparaissent sur le graphique.

Charlie : Tu vois, la figure incorpore plus de malades, 36% de plus pour être exact.

Don : Qu'est-ce que ça veut dire ?

Charlie : Davantage ont un lien avec le teminus des bus qu'avec la gare.
Don : Et alors! Il y a des navettes qui relient la gare avec le terminus, alors même si ce n'est pas à la gare que le virus a été disséminé, c'est l'un des endroits où les gens contaminés se sont croisés.
Charlie : On a pas réussit à établir une modélisation qui soit spécifique à l'un des trains et je pense que ça serait possible avec un bus voir même deux, un allant au nord et l'autre au sud.
Don : C'est là que quelque chose m'échappe Charlie. Dis-moi si je me trompe, mais au nord, les gens tombent plus malade qu'au sud?
Charlie : 80% des décès sont au nord.
Don : Mais c'est absurde! Comment tu expliques qu'au nord la population soit plus vulnérable au même virus?

Charlie : Et si ce n'était pas le même virus? S'il y avait deux souches différentes?

 

 

Plus tard, au siège du FBI

 

Evercamp : Il s'agit effectivement de deux souches différentes du même virus qui se propage dans deux directions. La différence entre leurs deux structures est infime. Mais les variations sur leur impact sur la population sont significatives.

Don : Quelles sont les chances pour que deux souches virales apparaisent naturellement ensemble au même endroit ?

Charlie : C'est statistiquement impossible Don.

Don : Donc, le virus a été répandu volontairement par une personne. Ce qui m'échappe c'est pourquoi deux souches différentes?
Le téléphone sonne, Don décroche.
Don : Eppes! Bien.

Il raccroche.
Don : On a Atlanta en vidéo-conférence...Bonjour!

Chercheur Atlanta : Bonjour, il existe bien deux virus de la grippe espagnole. La distinction est génétique et touche un gène bien spécial.
Evercamp : Mais quand Gen-o a ressucité la grippe espagnole, il ne s'agissait pas de la souche originale. Ils ont introduit le gène de la grippe de 1918 à l'intérieur de la chaine d'ARN de la grippe standard.
Chercheur Atlanta : La deuxième souche contient moins d'ARN provenant du virus 1918 et comme nous pouvons le constaté, il est moins virulent.
Don : On connait le laboratoire qui a fabriqué la deuxième souche?

Chercheur Atlanta : Oui, elle porte des marqueurs génétiques uniques, signature d'un laboratoire du Maryland, Russel Lab. Mais, les services sanitaires n'ont aucune trace d'un éventuel transfert d'un échantillon de ce virus.
Don : Pourtant, il est là, tout comme celui élaboré au sein des laboratoires Gen-o.

Au terminus des bus

 

Evercamp : Le virus a été répandu avec un aérosol dans deux bus. L'un a destination du nord, l'autre du sud. Le père de Josh Kramer, la première victime, se trouvait dans le bus se déplaçant vers le nord, mais seules sa femme et son fils ont été atteints. Les deux autres enfants ont l'air d'aller bien.
Don : Bien, on va devoir retrouver toutes les personnes qui sont entrées ou sorties de ce terminus le jour où on pense ça été fait. Mettez sur coup tous les services de santé de la ville, les flics, les shérifs de tout le comté, on a besoin de tout le monde.
Evercamp(à Charlie) : Maintenant qu'on connait les autobus, on trouvera les victimes qu'on a manqué et on pourra leur apporter notre aide.
Don : Excellent !

Evercamp : Et stopper l'épidémie.
David(arrivant): Les vidéo-surveillance du terminus sont archivées sur disque. On les aura dès que possible.

Don : Parfait, on va accélérer les choses.

Dans la maison des Eppes

 

Charlie : Salut ! Où est-ce que tu étais.

Alan (déposant ses clefs): Au bowling!

Charlie : Ah bon?

Alan : Ben non! Biensûr que non! Je suis allé en ville au foyer.
Charlie : Papa!

Alan : Personne d'autre n'avait l'air inquiet d'être là.
Charlie : Personne ne sait rien.
Alan : Personne n'est au courant de ce que tu n'as surtout pas voulu me dire. Puisque tout le monde y va, pourquoi pas moi? J'ai comme l'impression qu'aujourd'hui, ton frère et toi, vous étiez en ville, non? Je me trompe peut-être?

Charlie : Non, c'est vrai. Mais, on s'inquiètent pour toi, tu comprends?
Alan : Bon, écoutes! Ton frère est en première ligne tous les jours à cause de son travail, tu crois pas que je m'inquiète, mais je sais que ce travail est vital pour lui...Tu es fréquemment à ses côtés ces temps-ci?

Charlie acquiesse de la tête.

Alan : Sais-tu de quoi je suis très fier? C'est d'avoir élevé deux fils, enfin que nous ayons élevés deux fils, qui ont un grand sens du service public.
Alan tousse.
Charlie : Tu vas bien?

Alan : Biensûr, juste un rhume.

Charlie : Fais attention papa! Chopes pas la grippe!

Alan : T'inquiètes pas pour moi, j'attrape jamais la grippe.

 

Au siège du FBI

 

Charlie et le Commandant Evercamp travaillent sur ordinateur avec les réprésentations des deux virus.

Evercamp : Comme ces deux virus de la grippe sont vraiment similaires, il est possible qu'on puisse utiliser la souche la moins virulente pour élaborer un vaccin ou un traitement.
Charlie: Mais on ne guérit pas une affection virale.

Evercamp : C'est vrai, mais on dispose de traitements qui réduisent les symptômes de l'infection.
Charlie(montrant sur l'écran) : Ca, c'est la souche de Russel Lab et là, c'est celle de Gen-o, la plus meurtrière.
Evercamp : Quantifier les différences entre elles va prendre des mois.

Charlie(pianotant sur l'ordinateur) : Je vais mettre en route une appplication qui va les visualiser et schématiser les différences essentielles, juste par curiosité.

Les schématisations des virus se supperposent.

Evercamp : Simplifié de cette façon apparaissent des similitudes évidentes avec la signature d'un séquence de protéines d'une autre souche virale pour laquelle il existe un traitement(elle cherche dans ses notes)... c'est assez hasardeux, mais elles sont tellement proches...on pourrait utiliser le traitement pour tenter de stabiliser les malades contaminés.
Don entre dans la pièce avec le Dr Weaver

Don : Le Dr Weaver est là, il pense avoir quelque chose de très important pour nous.
Dr Weaver (cherchant dans sa malette) : Il m'es soudain venu à l'esprit que ceci pourrait vous aider à identifier de quelle souche virale il s'agit...des lamelles des cinq souches connues de la grippe espagnole, elles pourront peut-être vous permettre de trouver d'où vient ce virus.

Le Dr Weaver donne une petite boite à Don qui la donne à Charlie.

Don : Merci de nous les avoir apporté, nous vous en sommes très reconnaissants.
Dr Weaver : Dans de telles circonstances, c'est le moins que je puisse faire...Je sais que lors d'une investigation, le FBI se doit de mener sa propre enquête, mais, je profite de l'occasion pour me porter garant de mes confrères associés à mes recherches.
Don : Biensûr!

Dr Weaver : Ils sont tous les deux très compétents et tout à fait dignes de confiance.

Don : Evidemment!

Dr Weaver : Et en particulier Martin Grolsch. Je suis concient du fait qu'il puisse sembler un peu étrange, mais ce garçon est un biotechnicien de haut niveau, ambitieux certes, mais passionné.

Don : Et?
Dr Weaver : Je ne peux pas imaginer qu'il ait quelque chose à voir avec la dissémination volontaire d'un virus mortel.

Don : Nous prendrons tous ça en concidération, mais nous avons beaucoup de travail, Docteur.
Dr Weaver (quittant la pièce) : Je comprends, au revoir.

 

 

Dans un restaurant

 

Larry déjeune avec deux collègues.

Collègue 1 :Bon alors, je suis assis dans un trou noir et je te regarde. Qu'est-ce que je vois?

Larry :Absolument tout...et absolument rien.

Collègue 1 : Mais, est-ce qu'on parle d'un espace temps anti de Siter et d'un trou noir possédant une charge?

Larry : Non! Juste d'un trou noir dans un champs de Yang-mills!

Ils rient tous les trois, Charlie arrive.

Charlie : Larry?

Larry : Charles! Tu veux te joindre à notre déjeuner du club de la théorie des cordes?
Charlie(s'asseyant) : Volontiers! Je tenais à te remercier, le conseil que tu m'as donné pour mon problème, il m'a permis de le résoudre.
Larry : Super! Comme quoi il n'y à rien de mieux que la théorie scientifique quand on lui laisse sa chance.

Charlie : Ca a sauvé énormément de gens et j'aimerais vraiment pouvoir t'en dire plus.
Larry : Lorsque j'ai commencé à dispenser des cours, certains de mes collègues avaient travaillés à Los Alamos et il y avait des choses dont ils ne pouvaient pas discuter même 30 ans après...alors, tout ce que j'espère...c'est que ton secret aura une durée de vie nettement plus courte...

Collègue 1 : ...Et ne tuera pas autant de monde que la bombe atomique...

 

Au siège du FBI

 

Don : Tu as eu la commission rogatoire?

Terry : Grolsch n'était pas là, on la mise dans sa boite et on est entré. Il a mentionné une petite amie?

Don : Oui, il y a fait allusion, il a plaisanté sur le fait qu'il ne la voyait pas souvent.

Terry : Probablement parce qu'elle l'a plaqué il y a un mois. Suite à une avalanche d'e-mails de plus en plus hostiles, elle a coupé les ponts.

Don : Ca l'aurait fait basculé? Il aurait fait ça pour reconquérir sa copine?

Terry : Non! Il est bizarre, mais ce n'est pas un sociopathe et d'après ce qu'on a trouvé chez lui, il est maniaque. Il ne détruit rien, il archive tout.

Terry montre tout un dossier à Don.

Terry : Copie de ses notes de téléphone, on a tout passé en revue, on a rien trouvé.
Don épluche les factures.

Don : Celle-là remonte à neuf mois, frais de raccordement...il a déménagé y'a moins d'un an!

Terry : Ca peut être une piste.

 

Plus tard, Terry et Don interrogent Martin Grolsch.

Don : Mr Grolsch lors de notre dernier entretien, vous avez oublié de nous mentionner que vous viviez dans le Maryland ?

Grolsch : Quand vous m'avez embarqué, vous avez mis mes courses au réfrigérateur, j'avais acheté des surgelés...

Don : Vous comprenez ça nous concerne parce que c'est deux et non pas un virus de la grippe espagnole qu'on a disséminé, l'un du laboratoire Gen-o et un de Russel Lab dans le Maryland.

Grolsch : Les souches proviennent de deux labos! Vous êtes sûrs?

Terry : Vous étiez dans quel labo avant de déménager ?

Grolsch :Chez Russel Lab, vous le savez déjà, sinon je ne serais pas là !

Don : Vous ne nous l'aviez pas précisé?

Grolsch : Il fallait le demander. Russel Lab et Gen-o sont des concurrents. Le milieu de la recherche est une jungle. Le Dr Weaver a remarqué mes résultats et m'appellé et recruté.
Don : Ca fait deux choses que vous auriez dû nous dire beaucoup plus tôt. Vous vous en rendez compte?

Terry : Pour l'instant, vous êtes la seule personne qui ait eu accès aux deux virus.
Grolsch : Non, attendez! Ca n'a aucun sens, non, je ne suis pas le seul dans ce cas. Ecoutez, Russel Lab et Gen-o se battent pour décrocher un énorme contrat avec l'industrie pharmaceutique. Alors, quand j'ai rejoint Gen-o, j'ai donné à mon nouveau labo un petit plus sous la forme d'un échantillon du boulot de la concurrence.

Terry : Vous avez trimballé un échantillon à travers tout le pays quand vous êtes venu chez Gen-o?

Grolsch : J'ai suivit tous les protocoles, il n'y avait aucun risques...mais, il y a au moins deux autres chercheurs du labo qui ont accès aux deux souches virales, le Dr Weaver et Jessica Avery, il n'y a pas que moi.

Don : Très bien, parlons de ce fameux contrat, sur quoi les deux labos sont-ils en concurrence ?

Grolsch : Je crois que je vais attendre l'arrivée de mon av...

Don (élevant la voix) : Vous avez transporté des organismes très dangereux à travers plusieurs états. Je ne sais pas comment vous expliquer dans quel pétrin vous vous êtes mis, mais vu le nombre de décès, je vous suggère de coopérer d'abord et ensuite d'appeller votre avocat.

Grolsch : Il s'agit d'un contrat avec une entreprise qui développe des vaccins.

Don : Comment s'appelle t-elle?

Grolsch : Craigmac Pharmaceutique.
Don : C'est un groupe pharmaceutique très important, le contrat doit être...

Grolsch : Des centaines de millions de dollars s'étalant sur plusieures années.

Terry : C'est pour ça que vous avez volé le virus? Pour devenir riche?

Grolsch : Sûrement pas pour le disséminer.

Don : D'accord.
Grolsch : Je ne veux tuer personne.
Don : D'accord, pour vous c'est juste de l'espionnage industriel, c'est ça?

Plus tard, Don et Terry discutent.

Don : Tu le crois assez désespéré pour avoir répandu les deux virus pour prouver que celui de Gen-o est pire?
Terry : Possible, mais n'oublions pas Jessica Avery et le Dr Weaver, sans compter qu'il y a peut-être d'autres dont on ne sait rien.

Don : On doit découvrir tous ceux qui ont eu accès aux deux souches et je veux voir le patron du groupe au sujet de ce contrat mirobolant.

A l'hôpital


Charlie est au chevet de Mme Kramer.
Officier : C'est là sur votre droite, un type de chez vous est déjà auprès d'elle.

Don : Oui, je vois, à plus tard, merci.

Don (à Charlie) : Salut.
Charlie : Salut.

Don : Evercamp m'a dit qu'elle répondait au traitement dont tu as permis l'élaboration, excellent travail!

Charlie : Ravi d'avoir pu servir à quelque chose.
Don : Ca va?

Charlie : Dis-moi...est-ce que...est-ce que maman...est-ce qu'elle a souffert?
Don : Non, non, même pas à la fin, pas avec la morphine. Elle avait un de ces trucs perso (Don fait un geste mimant qu'il appuie sur un bouton)...elle y avait pris goût!

Charlie, bord des larmes, s'éloigne un peu, Don le suit.

Don : Je voudrais savoir comment tu a fais pour obtenir ton accréditation,

Charlie : J'ai été consultant pour la NSA.

Don : Pour la Sécurité Nationale?

Charlie : Oui, il y a environ 2 ans, c'est Bob Tomkins qui m'a appellé.

Don : Attends une minute! Le sous-directeur Robert Tomkins!

Charlie : Bob, oui! Robert, c'est ça!

Don (souriant) : Charlie, t'es fou! Tu te rends compte que tu n'as pas besoin de porter un badge pour venir au bureau, tu peux aller où tu veux!

Charlie : Ah bon? Personne ne m'a rien dit.
Don : Ouaie, bon, il faut que je m'habitue au fait que mon petit frère a été consultant sur un truc assez important pour qu'il appelle le sous-directeur par son prénom!

Charlie : Tu sais la NSA consulte des tas de mathématiciens.
Don : Et toi tu sais que tu n'as jamais été très bon pour les secrets, tu devras y penser.

Charlie vexé s'en va.

Don : Charlie?

Charlie : Salut!

 

Au siège du FBI

 

Don examine les dossiers des personnes malades.

Don : Décédé...sous traitement... décédé...

David arrive.
David : Don! On a du nouveau!

Don, Terry et David rejoingnent Charlie et le Commandant Evercamp dans un bureau.

Don : Bonjour, Craigmac a octroyé le contrat à Russel Lab deux semaines avant que le virus soit répandu, ils vont faire une annonce dans 8 jours.
Charlie : Mais vous disez que leur souche était moins meurtrière que Gen-o ?

Evercamp : Je l'ai dit et c'est le cas.
Charlie : Alors, ils vont élaborer un vaccin à partir du virus le moins virulent.
Evercamp : Quand un groupe prend ce genre de décision, d'autres facteurs sont pris en compte.
Don : Lesquels?

Evergrant : Certes Russel Lab n'a pas le meilleur virus, mais leur PDG entretient d'excellents contacts avec l'Office de Contrôle Pharmaceutique, ça compte pour Craigmac.

Le téléphone de David sonne.
Terry : La piste de Grolsch qui rêve de ce contrat ne tient plus.
Don : Non, non, non, Grolsch ignore que le contrat a été signé...
David (raccrochant) : Ils ont trouvé quelquechose sur les vidéos du terminus des bus.
Tout le monde se rend dans le labo vidéo. Sur l'écran, le Dr Weaver descend d'un bus, Don fait un arrêt sur image.
Don: Weaver!

Les images défilent de nouveau.

Don : Avances, avances...

Sur la vidéo, le Dr Weaver monte dans un deuxième bus.

Don : On l'a qui monte dans le deuxième bus. On a fait confiance à cet homme pour développer un virus mortel et c'est lui qui le dissémine.
Terry : Qu'est-ce que je disais! Alors, il a pas des yeux de maniaque?

David, au téléphone, raccroche.

David : Weaver n'est pas chez lui, ni au bureau et il a dit qu'il ne serait pas là de l'après-midi.
Don : On doit le retrouver et vite!

 

Avec un techicien pour localiser le Dr Weaver avec son téléphone.

Don : Si c'est sa boite vocale, rééssayez.
David : Attention.

Dr Weaver(au téléphone) : Allo?
Don(au téléphone) : Dr Weaver? Agent Eppes!

Dr Weaver( au téléphone dans sa voiture) : Oui, je suis ravi de vous entendre.
Don (au téléphone) : Moi aussi, voilà, j'aurais quelques questions à vous poser...je pourrais passer vous voir?

Dr Weaver(au téléphone) : Et bien, je ne suis pas à mon bureau aujourd'hui.
La localisation s'affine sur l'écran.

Don (au téléphone): Mais, ça ne prendra qu'une seconde, on peut faire ça par téléphone!

Dr Weaver(au téléphone) : C'est à dire que je suis au volant de ma voiture.

Don(au téléphone) : Bon! Et où êtes-vous ?

Dr Weaver(au téléphone) : Je vais m'arranger pour qu'on se voit demain...Agent Eppes, excusez-moi, mais je déteste téléphoner lorsque je conduis...Au revoir.

Il raccroche mais la localisation a pu se faire.
Don : Où est-il ?
Terry : Il approche de Hancock Park.
Don : Ok, vous prévenez la police que tous les hommes disponibles nous y rejoingnent.

David : On y va.

 

Devant une église

 

Le Dr Weaver s'avance un sac plastique à la main. Les agents du FBI arrivent à leur tour.

Don (devant la voiture de Weaver) : Fouilles sa voiture!

David : Tout de suite.

Les agents du FBI arrêtent le Dr Weaver qui ne fait rien pour s'enfuir.

Don: Ne faites plus un geste ne bougez plus! Ne bougez plus!

Terry : Je m'occupe du sac.
Don: Ne restez pas sur le parvis, reculez, éloignez-le de l'église.
Dr Weaver : Tout celà est-il vraiment nécessaire!

Don : Pour prouver que votre virus était plus méchant, vous avez voulu le tester sur d'innocentes victimes?

Dr Weaver : Oui! Il le fallait! Pour sauver des vies.
Don : Pour sauver des vies? 20 personnes sont mortes!

Dr Weaver : Si vaccins et traitements sont élaborés à partir de la mauvaise souche, la grippe espagnole reviendra et je peux vous assurer qu'on ne sera pas prêts, des millions de gens mouront.

Don : Vous justifiez les morts d'aujourd'hui pour sauver des vies demain?

Dr Weaver : Si vous fréquentiez des virus mortels depuis aussi longtemps que moi, vous sauriez que je n'avais pas le choix. Les virus ne pardonnent pas. Nous devons faire tout ce qui est possible pour protéger les innocents.
Don : C'est quoi?
Evergrant(rapportant le contenu du sac de Weaver) : Des bougies! Ce ne sont que des bougies.
Dr Weaver : A la mémoire des victimes...je voulais en allumer une pour chacune d'entre elles...Vous pensiez que j'allais recommencer à répandre le virus ici?

Don : En route.

Dr Weaver : Je n'ai aucune raison de le faire...
Don : Allons-y!

Dr Weaver : J'ai déjà établi que notre souche est plus meurtrière...Disséminer le virus serait dément.

Dans la maison des Eppes

 

Charlie et Alan mangent sur la terrasse, Don arrive, un verre à la main.

Alan : Alors, comment ça va les garçons?...Vous m'avez l'air plus détendus que ces deux derniers jours!

Don(s'asseyant) : Ouaie, je dirais qu'on s'en sort pas trop mal, je crois...On vient de clôre notre dossier...je vais enfin pouvoir faire ma première nuit complète de la semaine.
Charlie : Ravi que ça soit fini.
Alan : J'ai l'intention d'aller travailler au foyer toute la semaine prochaine...si vous n'y voyez pas d'inconvéniants?

Don : Non, tout va bien maintenant.
Charlie : C'est une excellente idée.
Alan (se levant) : Bon! Et bien, à tout à l'heure! Je vais faire un tour avec Hart Stanley.
Charlie : Ah! Et où allez-vous?

Alan(partant) : Au Bowling! Avec tout le raffut que tu as fais, je me suis dit qu'on pourrait peut-être essayer.
Charlie et Don sourient.
Don : Ca alors, quand je pense que tu ne m'as jamais dit que tu étais consultant à la NSA!

Charlie : C'est pas ce que tu crois!

Don : Moi? Mais, je ne crois rien du tout. Tellement de choses s'ammoncellent sur mon bureau, si ça se trouve, j'ai été prévenu de ton affectation au moment où elle a eu lieu...
Charlie : C'était pas vraiment une affectation...c'était plutôt comme un passe pour aller en coulisses...enfin, tu vois, c'était pas un dossier si sensible...on a des troupes tout autour du globe, tu sais...
Don : Bon, stop! Stop! Stop!

Charlie : Quoi? Je peux bien te le raconter à toi? Tu disais que...

Don : Arrêtes, arrêtes! Te laisses pas avoir! Tu as prété serment, tu es tenu au secret professionnel, tu ne dois pas en parler...oublies ce que je t'ai dit...je te demanderai rien...je sais comment tu fonctionnes...et je crois que ta petite tête fonctionne très bien, je n'y serais jamais arrivé sans toi.

Don félicite Charlie avec une accolade. Charlie sourit.

Don : Parles-moi de cette mission?

Charlie : Tu voulais rien savoir!

Don : Allez! C'était quoi?

Charlie : Je ne peux vraiment rien te dire...C'est top secret...

 

Générique de fin

The patient zero

 

Voice on the radio: Thank you for being with us, it is just 8:05 in sunny Southern California and the temperature is 18 degrees. The movement is more fluid except two or three spots ...

 

In the car Kramer

 

Boy 1 (heckling): Here take this ...

Boy 2: Oh stop!

Ms. Kramer: Play kindly ... or do not play at all.

Joshua (holding the belly): Mom, I think I'm sick.

Ms. Kramer: It's learn read by car, t'avais than done your homework last night.

Joshua: This is serious, I really stomach.

Boy 2 (mocking): Joshua will vomit ... oh!

Ms. Kramer (worried): Maybe you caught a gastro ... you think you can go to class?

Joshua (feverish): I know ... I'm not really good.

 

Apartment of a couple

 

Husband: Honey, you know where is my bordeau striped tie?

Women (coughing): On pressing!

Husband: And the gray and red?

The woman coughs more beautiful in the bathroom. 

Husband (speaking less strong): Because when y'en who bossent today!

Women (coughing): I heard thee ...

 

On the street

 

Two friends, working in a supermarket, returning from work and go to the bus stop.

Girl 1: When you told me you found me at work, thou hast no mention of night work ...

Girl 2: Oh hey! Plains yourself, you can sleep all morning ...

Girl 1: should I sleep a week so ...

 

In the car Kramer

 

Ms. Kramer deposits its two youngest son to school.

Ms. Kramer: Goodbye boys!

Boys: Bye Mom!

Ms. Kramer (expressing concern and laying his hand on the forehead of Joshua): Josh! Josh! My darling ... Oh no, Josh, but you're burning ...

Joshua (grelotter): I am Chilled!

 

Apartment 

 

Husband: You released a day accounts? ... Honey? (shock is heard behind the door of the bathroom) all right?

The husband rushes.

 

On the street

 

The two friends sit on the bench at the bus stop. 1 daughter coughing a lot.

Girl 2 (a little inquète): Got chopé the crevasse? Because if that's right, t'approches not me, I can not allow me to not go to work tomorrow.

Girl 1 (coughing): No! Should I just sleep ...

 

In the car Kramer

 

Mom (increasingly worried): I t'emmène directly from Dr. Burke!

 

In the apartment 

  

Husband (opening the door of the bathroom): Linda? You okay?

He found his wife lying unconscious.

Husband: No! You're kidding! Linda? Answer me! ... Honey, answer me!

 

In the street, at bus stop

 

1 The girl fell asleep on the bench, his girlfriend tries to wake up.

Girl 2: Wake up, the bus is coming!

 

In the car Kramer

 

Ms. Kramer (inquietude more beautiful): Josh?

Joshua breathing difficult, it is almost inconscent.

Ms. Kramer (Joshua shaking): It is almost came to the doctor. 

  

Before the house Kramer

 

CDC officials: We follow the usual procedure, disinfection and put into quarantine.

Men in protective clothing fit a stretcher surmounted by a tent insulation in the house of Kramer. Don and Terry arrive.

Evercamp: Commander Lee Evercamp of public health ...

Don: Don Eppes, FBI.

Terry: Terry Lake, hello!

Evercamp: Our first known victim is Josh Kramer, 16 years old, he fell ill Saturday ... It was about thirty suspected cases throughout the city of Los Angeles ... with 6 deaths so far.

Terry: What It Looks?

Evercamp: It is not Antrax or smallpox ... probably a virus, but it has not yet isolated the toxins, it is doing autopsies at the Department of Health, but as long as nothing to define, keeping all residents in quarantine.

Don: At the FBI, we will focus on the trail of bio-terrorism ... Where it began, where the virus could be spread ...

Evercamp: Yes! It must be a vector.

Terry: To link the victims?

Evercamp (acquiesse): And predict the spread of the disease ... The complexity of the calculations we have to use a high-level mathematician. I asked one of them to take charge of the dossier ...

Don: Our consultant is very gifted math and available immediately!

Evercamp: I would be delighted to call him, but it is an issue top secret on national security.

Terry: Bio-terrorism! It takes at least a month to be declared fit on this type of case.

Don: Yours, it is fit?

Evercamp: Yes! It has all the permissions of the aileurs is!

A car parking nearby.

Evercamp: He teaches at the University ...

Charlie is coming.

Evercamp: Here Dr. Chales Eppes, he will be the vector analysis ...

Charlie (embarrassed): Don Hello, hello Terry.

Terry: Hello Charlie!

Charlie: I did not know you were working on this issue ...

Don (surprised): But you want someone who is empowered?

Evercamp: Dr. Eppes is empowered!

Don: You sure? (Turning to Charlie) True?

Evercamp: It is a problem?

Don: No! Except that I was not ever told!

Charlie: I was not supposed to do!

Don: It's true! No, Charlie is my brother and he is the consultant whom I have spoken, I did not know ...

Evercamp: We'll take the mother of the boy who died, she developed the same symptoms ...

Don: We must find what it is before it gets out of control.

Josh's mother is taken, unconscious, under the gaze of neighbors confined to their homes and FBI agents, worried.

 

The beginning

 

At the headquarters of the FBI

 

Before all the officers in charge of the investigation.

Don: The symptoms take into account are nausea, high fever, stomach pain.

David: Yes, flu or food poisoning, and at least ...

Don: With that, you get sick at breakfast and you're dead at the diner, what we are dealing is fast and dangerous.

Evercamp: Death is due to respiratory failure, we have not yet identified what is behind all this, it is assumed that this is an infectious agent, probably spread by votes of aériennne virus.

Terry: Should we warn the population?

Evercamp: This pathogen is concidéré as being a weapon of mass destruction, so this whole investigation is top secret.

David: And if the disease spreads?

Evercamp: It is imperative that we avoid any panic. If people leave Los Angeles, the contagion will spread faster and further.

Don: All health services are mobilized to isolate the virus. The FBI is seeking whom and where. The key problem is where. Where everything started.

 

In smaller committee.

Charlie (explaining using a table): The spread of infectious disease is a complex problem with many variables. For example, a woman entering a contaminated empty room, 4 healthy people entering in turn, only 2 are contaminated, but every 5 are in other parts and are joined by 4 new non-infected. The number of patients is increasing and so on. At a time where we are, we are facing the equivalent of 100 pieces. It is very difficult to trace the source. For this one woman that requires a complex equation statistical analysis and analysis of graphs.

Terry: Those who are exposed do not all fall ill.

Evercamp: Exactly, but it is unclear why.

Don: Well, for the moment, it was what?

Charlie: We have high probability areas common to at least 2 victims, the city is common to 5 victims. Perhaps from there, but it is too early to be sure. Here are the results of rapid analysis of the activities of victims from the content of their interrogation ... nothing truly representative, but I hope that the growing number of patients, it will not ... I hope that people fall ill.

Don: You know, Charlie. If I understand you would need more data.

Charlie: That's right thank you! At the time to find the point of origin and to monitor its spread.

 

At the hospital

Don questioned the mother of Josh.

Don: During the previous days, Josh did he go to places where it did not normally go?

Ms. Kramer: No, my husband returned much later, the day before Josh fell ill.

Don: Later his work?

Ms. Kramer: He was returning from a trip to San Diego, just a few days.

 

On the street

Terry questioned the husband of Linda

Terry: Your wife is she gone to places where it did not usually go?

Husband: It's been a week classic ... it worked, I worked.


At the headquarters of the FBI

David interviews the friend of the supermarket cashier.

Girl 2: It is true yesterday, she went to the cinema ... but myself and I'm very well.

 

On the street

Husband: In the center, they both work in the center.

 

In FBI

Girl 2: The film we saw in Van Huis, is it important?

 

On the street

Terry: And you live?

Husband: Hancock Park

 

At the headquarters of the FBI

Girl 2: Glendale

 

 

In the house Eppes

 

Charlie works before the exhibition

Alan (entering): Hello!

Charlie (hiding his research): Hi!

Alan: No classes today?

Charlie: No!

Alan: You work on one case of Don?

Charlie: That's ... Genetic ... for a colleague who works in the department of biology.

Alan: Ah! He or she?

Charlie: Huh?

Alan (Enfilable his jacket): Your colleague? Man or woman?

Charlie: How important?

Alan: No! I'm just curious. I thought that maybe you ...

Charlie: You know what Dad ... the day where I have a girlfriend, I keep getting informed ... putting a note on the fridge!

Alan (outgoing): OK, so it's nice.

Charlie: You can know where you going?

Alan: In my book club.

Charlie: And where is that?

Alan: At Phil, Raymond Avenue. Do you monitor?

Charlie: No! Simple curiosity.

 

At the headquarters of the FBI

 

David: No claim of any national or international.

Don: Well, terrorists have claimed or justified their act through a philosophy or strategy.

Terry: Unless they can no longer claim!

Don: Because they have been contaminated or even killed?

Terry: It is possible.

David: It is an idea but it is assumed that there is a villain. And in such cases, they are sometimes more.

Terry: Yes! But it is also possible that evil is wrong.

Don: As long as health services do not confirm the contrary, it is assumed that there is someone behind it all.

Later, in an office, Charlie and David are working on computer.

Charlie: This tracking system will enable us to locate the victims and see the progression of the disease, everything in real time. Patients are spread across Los Angeles, Long Beach in Santa Barbara. If we combine with the report ... reproductive indeed, I wrote that it is more clear.

David (observing the table filled with complicated equations): Oh Yeah, it's really clear!

Charlie: We get a model of infection, or a projection of contagion, in combination with the tracking system, we will get two essential data: where it's coming, people, a place, there exists this health services called "patient zero" and where it goes. Where is the new sick that we need to locate.

David: It looks like a plant!

Charlie: This is a good way to see, like a plant. When a virus spreads, it grows so to speak. The tree is a very common in nature, since crystals to giant sequoia. There is no data to know where it comes or to predict contagion, but as they will, we will see the shape of leaves and branches.

Evercamp (entering the room): It's advance?

David: Not very fast. Other data on new patients?

Evercamp: It has 11 more.

Charlie: Very interesting! A woman came looking for his daughter at the train station in Glendale, a man had lunch on Olivera Street, a taxi driver. A taxi driver! Commander, these new data will help us see more clearly

Charlie (the news entering data into its program): Look, the allocation of places!

David: It looks like two trees growing from a single root, one goes north, one south.

Charlie: The two starters from the Gare de l'Union ... 12 victims are gone or have been, or been in contact with someone who went there.

Evercamp: It is consistent! It is an important railway junction, many people pass through there.

David: Congratulations, nice job. 

  

Later, in the office of Don

Charlie: Don! I am unsure of my result, I have not had time to verify its accuracy ... not I stop wondering if it is just, if I'm wrong many patients will not be account.

Don: Test your equation as much as you want, but we can not wait.

The phone rings

Don: Eppes!

 

Later, offices

Terry: The Union Station was closed officially, the presence of asbestos on the walls.

David: This station is the ideal place to spread a virus for a maximum contagion.

Don (get excited): This is what I told Charlie to no avail.

Terry: This is normal, you speak of terrorism, it spoke Maths.

Don (seeing Charlie face severe): What y'a?

Charlie (arriving): I just had Evercamp the phone ... it is the virus of pandemic influenza.

Don: What? The flu?

Terry : pandemic? It is the Spanish flu?

Charlie: The Spanish flu yes!

Terry: In 1918, there has been an extremely virulent epidemic that has made terrible toll. The Spanish flu has killed a lot of people around the world. In some cities, one in two.

Don: How they turned out? What did they do?

Terry: Nothing! There is no vaccine!

Charlie: They expected that the virus disappears by itself.

Don: How many deaths?

Terry: In the USA alone, there were 600,000 deaths ...

Charlie: ... in 6 months!

Don: In 6 months!

 

Before the house Eppes

 

Don arrives, Charlie comes to meet him.

Charlie: I think we should tell him.

Don: It is strictly forbidden, you can not.

Charlie: It's his day of volunteering, home of the homeless center, only 5 blocks from the Gare in Union.

 

In the house Eppes

 

Alan (get excited): And then! Traffic downtown is still terrible!

Charlie: It is worse than usual, a horror ...

Don: ... The lights no longer work due to accident, you lose your day in caps ...

Charlie: ... And the more I believe there is a demonstration ...

Don: Yes!

Charlie: A protest march which starts ...

Don: ... From the Bourse du Travail ...

Charlie: ... And who will go ...

Don: ... It's going to be a big event ...

Charlie: Huge ...

Don: ... Yes, great ...

Charlie: You should provide something more fun kind of ...

Alan: What ...?

Charlie: I know you could not go bowling ...!

Alan: At the bowling!

Don: Or golf, you always say that you dream of playing golf, it's time to go walking on a green.

Alan: It's been two years since I am retired and a little over a year since your mother died, now there are some things I want to ... like to help people in need and I am committed to being at home today. If I am caught in a cap, tanpa! No question I dropped to go golfing or bowling!

Charlie: Even if we told you that we have a good reason for ...

Don: Charlie! No! Charlie!

Alan: It is clear that there is something you do not tell me ... perhaps because ... you can not tell me ... but you do not want me go.

Don: That's right, I think it is better not to go downtown ... C'est bon? You can stop there?

Alan (outgoing): I take your concern in concidération.

Charlie: If only we could tell him to stay home for some time!

Don: Well then here I wish you good luck.

Charlie: What, sometimes I step out of here for months ...

Don (outgoing): The bowling!

Charlie: Yeah, bowling!

 

At the headquarters of the FBI

 

Charlie: We would suggest to Dad to take yoga.

Don: You can be sure who would rush outside!

Terry (arriving in common): Don, the virus may have a laboratory. Four of them bossent on Spanish flu strains including one here in Los Angeles. The doctor who oversees the research is Dr. Weaver.

Don: Yes, let's see it.

 

In the laboratory Gen-o

 

Dr. Weaver: There are about fifty years, scientists have found victims of the epidemic in Alaska in the basement frozen. They found fragments of RNA virus of the Spanish flu in the lungs of a young soldier died of the disease.

Don: So you could reconstruct the strain of 1918?

Dr. Weaver: A virus can remain hidden for decades lethargy in the wild before suddenly reinfect and decimate the population. For example, Ebola in Africa disappear again periodically. It is likely that one of these days, the Spanish flu emerge and cause major damage.

Don: And there is no vaccine, the epidemic will affect the world.

Dr. Weaver: That's why we grow the virus. The pharmaceutical industry will need to develop the vaccine against the Spanish flu.

Don: I will have to control your security system and your stocks.

Dr. Weaver: Good.

Dr. Don and head to stocks.

Don: No sample can not disappear without your knowledge?

Dr. Weaver: No! The law requires us to report any incident to health services.

Don: And what about your staff. No departure on vacation, sick or something like?

Dr. Weaver: No, at least not recently. We are only 3 to work on the virus. Moi, a young researcher, Martin Grolsch ...

Don: Grolsch ...

Dr. Weaver: Yes, and Jessica Avery, a micro-biologist at the Institute of Medicine of New York.

 

At the headquarters of the FBI

 

Terry interviewing Jessica Avery.

Jessica: No, it's impossible!

Terry: Why do you say that?

Jessica: Because the influenza virus is handled by very experienced professionals. There are protocols. Any leakage is simply impossible.

Terry: Do you think it can only be the result of a deliberate act?

Jessica: I would say that among the scientists who have access to this virus, none of them would never again.

Terry: Are you sure? You know?

Jessica: Most yes! It happens that I know and those I do not work for people I know. They are all perfectly risks. What you suggest is simply impossible.

Terry: Excuse me.

Terry leaves the interrogation room and joined Don who observed the video.

Don: So? What do you think?

Terry: It is ... fascinating. It has forged a mythical image of the scientist. A kind of god without passion.

Don: And you find that you well?

Terry: I find the concept interesting. Dr. savior, just as incendiary lighting a fire to be the first on the scene.

Don: I'm afraid of falling into the cliché, but for me a mad scientist is widely crazier than this lady.

Terry: The extremists have not always manic eyes. Often, they act in good faith for the worst reasons and when they expose, they expect that it adheres.

Don (looking at his watch): Well then find me a reason that is rational for a woman like her?

Terry: To demonstrate the danger of such research, obtain funding, moreover, I look on this side.

Don: Very good. I must see the third researcher from the lab to see if his gaze is consistent with the standard. See you later.

 

At Martin Grolsch

 

Grolsch: My reaction? My reaction is waouw! The Spanish flu you sure?

Don: Yes! Sure and certain.

Grolsch: Question obviously stupid. Waouw!

Don: You work directly on the virus?

Grolsch: Are you kidding! I know its genome better than my girlfriend! (David looking everywhere) Looking for something in particular?

David: No, not really. I noticed a suitcase on your bed.

Grolsch: Yeah! I'm going to a meeting of alumni.

Don: That's to say?

Grolsch: What?

Don: What school? What promo?

Grolsch: It's 15 years.

David: You were graduated in what year?

Grolsch: 90. I know you're there because I'm working at Gen-o, but not me!

David: How are you?

Grolsch: Who have released the virus.

Don: How do you know he was?

Grolsch: Well ... if not why you come to me about this flu. In addition, information began to circulate in the scientific community.

David: We need the names of all those with whom you spoke.

Grolsch: Please, it is not illegal for biologists to exchange information. You will admit that a bomb that information.

Don: You do not look so worried?

Grolsch: Are you kidding! I know this shit better than you, I know exactly how much is dangerous. Ok! I am death of funk.

Don: But?

Grolsch: If infected people and started to claim victims, then the race to develop the vaccine is imminent. The largest pharmaceutical companies depend on people like us to supply virus.

David examines objects on a table.

Grolsch: What ...? Please not touch that!

Don: It does its work and elsewhere, I take a look at the floor ...

Grolsch: Well no! I refuse. I have done nothing wrong and I want you to leave.

Don: You're sure? I stress the importance of this.

Grolsch: You can trust me, I am aware. My career is about to take off ... if it does not kill before ...

Don: Are we going to.

David: Please have received.

 

In Don's car

 

Don: It could well be Grolsch, which does not mean that he is. He had access to the virus and he lives close to the Central Station of the Union.

Charlie: Except that health services have found no trace of the virus to the station.

Don: According Evercamp, it can only survive a few minutes outside the human body.

Charlie: Now what if it is wrong from the beginning about the station?

Don: Stop doubt. The station is a site of dispertion classic, especially if dispertion voluntary.

Charlie: Yes! But too few victims have direct links with trains ...

Charlie sighs, worried.

Don: Are you okay?

Charlie: Every minute that passes ...

Don: Yes, I know. More and more people are infected ... we do everything we can ...

Charlie: The fathers ... ... mothers of children ... How can there be forgive if we are wrong?

Don: Impossible! We can not go wrong!

 

Before the University Library

 

Charlie: Larry, you got a minute?

Larry: Obviously, since we have exactly the same number of minutes regardless of the hour seems to me there?

Charlie: It's true ... Well, I'm working on a statistical analysis that contains complex variables and multiple vectors ... In fact, I found a solution to the zero point ... but I ... For field specialists, it is fair ... they are almost sure, but I ...

Larry: You you think it is wrong but you doubts you because specialists are more familiar with the field.

Charlie: Yes! And to be honest, their answer is quite logical ...

Larry: But, Charlie, you assume that all these experts know their field as well you know the Math and it is a principle that I find highly problematic ...

Charlie: I think that in this case ...

Larry: How a result can be both logical and mathematically suspect? As you love to repeat as: "math is that the logic".

Charlie: Yes! But in this case ... or ...

Larry: What is extremely fascinating in the conversation that we try to have you and me is the care you put that to be very evasive on the real data this problem ... as usual, you rather tend to surexpliquer what you work ... I conclude that you do not speak because you can not say ...

Charlie: I loved so much power.

Larry: No, no, no, do not worry about that. My answer is and remains the same: always rely on the data.

Charlie: You're right! Of course you're right, of course!

Larry: I myself a question. Just now, there has been crossed when I was going to enter the library or when I go out?

Charlie: Larry, you had just come out.

Larry (sigh): Ah, my memory is a memory, it is seen.

Larry returned to the library

Charlie: Larry, you go out! 

Voiceover in the thoughts of Charlie: Always rely on data ... patients can come to one place or if it is a deliberate contamination be awarded in the same place ... a site dispertion classic, an important railway junction ... a lot of people pass through here ...

 

At the headquarters of the FBI

 

Charlie news explains his theory with a

Charlie: The virus was present Gare de l'Union, but it is not then he left, the point of origin is the bus terminal downtown.

Don: Health services and public health are sure he left the station ...

Charlie: They is a site dispertion volotaire logic, but if nothing is known of the grounds of the dispertion, how can we say that a site dispertion makes more sense than another?

Don: I understand.

Charlie: Here is the station.

Don: Yeah

Charlie: This is the modeling of the epidemic, you remember, a tree that grows north and south reflection.

Don: Yeah, Yeah, I understood it.

Charlie: Why not to the west or the east? Why the virus does not spread any assimut ... because he was not in a train ... we have found our victims among the passengers. So why does our virus resumed in the north and south?

Don: I do not know but the Gare de l'Union is a common thread in all our first victims ... perhaps not the only or even the most significant ...

Charlie: We'll see what happens when I move the vehicle by the bus terminal.

Charlie integrates the data into its program. Again spots appear on the chart.

Charlie: You see, the figure includes more patients, 36% more to be exact.

Don: What does it mean?

Charlie: More has a connection with the teminus bus with the station.

Don: So! There are shuttles that connect the station with the terminus, even if not at the station that the virus was spread, is one of the places where people are cross contaminated.

Charlie: We have not succeeded in establishing a model that is specific to one of the trains and I think it would be possible with a bus or even two, one going north and one south.

Don: This is something that escapes me Charlie. Tell me if I am wrong, but in the north, more people fall ill and south?

Charlie: 80% of deaths are in the north.

Don: But this is absurd! How do you explain that the northern population is more vulnerable to the same virus?

Charlie: What if this was not the same virus? If there were two different strains?

 

 

Later, FBI headquarters

 

Evercamp: This is actually two different strains of the same virus that spreads in two directions. The difference between the two structures is minimal. But the variations on their impact on the population are significant.

Don: What are the chances that two virus strains appear naturally together in one place?

Charlie: It is statistically impossible Don.

Don: So the virus has been spread intentionally by someone. What escapes me is why two different strains?

The phone rings, Don stall.

Don: Eppes! Well.

He hangs up.

Don: It was Atlanta in video-conference ... Hello!

Researcher Atlanta: Hello, there are two viruses of the Spanish flu. The distinction is genetic and affects a very special gene.

Evercamp: But when Gen-o ressucités the Spanish flu, it was not the original strain. They introduced the gene of influenza in 1918 within the chain of influenza RNA standard.

Researcher Atlanta: The second strain contains less RNA from the virus in 1918 and as we found it less virulent.

Don: One knows the laboratory that manufactured the second strain?

Researcher Atlanta: Yes, it genetic markers unique signature of a Maryland laboratory, Russel Lab. But health services have no trace of a possible transfer of a sample of the virus.

Don: But it is there, like that developed in laboratories Gen-o.


At the bus terminal

 

Evercamp: The virus was spread with an aerosol in two buses. One destination of the north and one south. The father of Josh Kramer, the first victim, was in the bus moving northward, but only his wife and son have been achieved. The other two children looked well.

Don: Well, we'll have to find everyone who entered or left the terminus of the day when we think it was done. Turn on blow all health services in the city, cops, sheriffs across the county, we need everybody.

Evercamp (Charlie): Now we know buses are the victims that has failed and we can give them our help.

Don: Excellent!

Evercamp: And stop the epidemic.

David (arriving): The video surveillance terminal are stored on disk. We will as soon as possible.

Don: Fine, we'll speed things up.

In the house Eppes

 

Charlie: Hi! Where do you were.

Alan (applicant's key): On bowling!

Charlie: Really?

Alan: No! Of course not! I went home in town.

Charlie: Dad!

Alan: No one else was worried the air to be there.

Charlie: Nobody knows anything.

Alan: "Nobody is aware of what you do not particularly want me to say. Because everyone goes, why not me? I feel like today, your brother and you, you were in town, right? I may be wrong?

Charlie: No, it's true. But we are worried about you, you know?

Alan: Well, listen! Your brother is the first in line all day because of his work, you think that I am concerned, but I know that this work is vital for him ... You are frequently at his side these days?

Charlie acquiesse of the head.

Alan: Do you know what I am most proud of? Is to have raised two son, finally we have raised two son, who had a great sense of public service.

Alan coughs.

Charlie: Are you okay?

Alan: Of course, just a cold.

Charlie: Be careful Dad! Mugs not the flu!

Alan: no worry for me, never j'attrape influenza.

 

At the headquarters of the FBI

 

Charlie and the Commander Evercamp working on computer with representatives of the two viruses.

Evercamp: As these two influenza viruses are really like, it is possible that we can use the less virulent strain to develop a vaccine or treatment.

Charlie: But it does not cure a disease virus.

Evercamp: It's true, but there are treatments that reduce symptoms of infection.

Charlie (showing on the screen): It is the strain of Russell Lab and there is that Gen-o, the most deadly.

Evercamp: To quantify the differences between them will take months.

Charlie (Pianote on the computer): I shall put up an appplication that view and will outline the essential differences, just out of curiosity.

The virus is schematisations supperposent.

Evercamp: Simplified this way appear obvious similarities with the signing of a protein sequence of another viral strain for which there is a treatment (it looks in his notes) ... it is quite risky, but they are so close ... we could use treatment to try to stabilize patients infected.
Don enters the room with Dr. Weaver

Don: Dr. Weaver is there, he believes that something very important to us.

Dr. Weaver (seeking in his briefcase): It m'es suddenly came to mind that this could help you identify what it is viral strain ... slats of the five known strains of the Spanish flu, they can Perhaps you can figure out where this virus.

Dr. Weaver gives a small box that Don gives Charlie.

Don: Thanks for having given us, we are very grateful.

Dr. Weaver: In such circumstances, it is the least I can do ... I know that during an investigation, the FBI should conduct its own investigation, but I take this opportunity to carry me guarantor of my colleagues associated with my research.

Don: Of course!

Dr. Weaver: They are both very competent and very trustworthy.

Don: Of course!

Dr. Weaver: And especially Martin Grolsch. I am aware that it may seem a little strange, but this boy is a high level biotechnicien, ambitious, but passionate.

Don: And?

Dr. Weaver: I can not imagine it has something to do with the deliberate release of a deadly virus.

Don: We will take all that in concidération, but we have a lot of work, Doctor.

Dr. Weaver (leaving the room): I understand, goodbye.

 

 

In a restaurant

 

Larry lunch with two colleagues.

Colleague 1: So, I'm sitting in a black hole and I'll watch. What do I see?

Larry: Absolutely everything and absolutely nothing ....

Colleague 1: But are we talking about a time of anti siter and a black hole with a load?

Larry: No! Just a black hole in a field of Yang-Mills!

They laugh all three, Charlie arrives.

Charlie: Larry?

Larry: Charles! You want to join our lunch club of string theory?

Charlie (sitting): Certainly! I wanted to thank you, the advice you gave me for my problem, it allowed me to resolve it.

Larry: Super! Like what there anything better than the scientific theory when he leaves his chance.

Charlie: It has saved a lot of people and I really worry more power.

Larry: When I started to offer courses, some of my colleagues had worked at Los Alamos and there were things they could not discuss even 30 years later ... then what hope .. . is that your secret will have a lifespan much shorter ...

Colleague 1: ... And do not kill as many people as the atomic bomb ...

 

At the headquarters of the FBI

 

Don: You had the letters rogatory?

Terry: Grolsch was not there, we put in his box and it is entered. He mentioned a girlfriend?

Don: Yes, he alluded, he joked about the fact that he does not see often.

Terry: Probably because she plated a month ago. Following a flood of e-mails increasingly hostile, she cut the bridges.

Don: It would have been switched? He would have done that to regain his girlfriend?

Terry: No! It is strange, but this is not a sociopath and after what was found at his home, it is manic. It does not destroy anything, archive it all.

Terry shows a folder to Don.

Terry: A copy of his notes phone, it has reviewed, it was nothing.

Don peeling bills.

Don: That one goes back to nine-month connection fee ... he moved there's less than a year!

Terry: It might be a track.

 

Later, Terry and Don Martin Grolsch interview.

Don: Mr Grolsch during our last interview, you forgot us mention that you live in Maryland?

Grolsch: When you board me, you have my races in the refrigerator, I bought frozen ...

Don: You understand that concerns us because it is two and not a virus of the Spanish flu that has spread, one of Gen-o laboratory and a Russel Lab in Maryland.

Grolsch: The strains from two labs! You're sure?

Terry: You were what lab before moving?

Grolsch: At Russell Lab, you know, otherwise I would not be there!

Don: You do we had not specified?

Grolsch: It had to ask. Gen. Russel Lab-o are competitors. The research is a jungle. Dr. Weaver has noticed my results and am and recruited.

Don: It's two things you should tell us much earlier. You remember?

Terry: Right now you are the only person who had access to both viruses.

Grolsch: No, wait! It makes no sense, no, I am not alone in this. Listen, and Gen. Russel Lab-o fight to get a huge contract with the pharmaceutical industry. So when I joined Gen-o, I gave my new lab a little more as a sample of job competition.

Terry: You trimballé a sample throughout the country when you came in Gen-o?

Grolsch: I have followed all protocols, there was no risk ... but there are at least two other researchers at the lab who have access to the two viral strains, Dr. Weaver and Jessica Avery, there not just me.

Don: Well, talk about this famous contract, whereupon the two labs are competing?

Grolsch: I think I'll wait for my av ...

Don (raising voice): You have moved very dangerous organizations across several states. I do not know how you explain what mess you made, but given the number of deaths, I suggest you cooperate first and then call your lawyer.

Grolsch: This is a contract with a company that develops vaccines.

Don: How is she?

Grolsch: Craigmac Pharmaceuticals.

Don: It is a very important pharmaceutical group, the contract must be ...

Grolsch: Hundreds of millions of dollars over several years.

Terry: That's why you have stolen the virus? To become rich?

Grolsch: Certainly not for dissemination.

Don: Okay.

Grolsch: I do not want to kill anyone.

Don: Okay, so you just from industrial espionage, right?

Later, Don and Terry discuss.

Don: You think quite desperate for spreading the two viruses to prove that Gen-o is worse?

Terry: Possible, but let us not forget Jessica Avery and Dr. Weaver, not that there may be others that we know nothing.

Don: We must find those who had access to both strains and I want to see the boss of the group on this contract myrobalan.

At the hospital


Charlie is at the bedside of Ms. Kramer.

Officer: This is on your right, a type of home is already before it.

Don: Yes, I see, later, thank you.

Don (Charlie): Hi.

Charlie: Hi.

Don: Evercamp told me that she responded to treatment that you permit the development, excellent work!

Charlie: Ravi have been used to something.

Don: Are you okay?

Charlie: Tell me ... is ... what is it that Mom ... is this suffering?

Don: No, no, not even at the end, not with morphine. It was one of those personal things (Don made a gesture miming he presses a button) ... it had taste!

Charlie verge of tears, a little away, Don follows.

Don: I would like to know how do you have to get your accreditation,

Charlie: I was consultant to the NSA.

Don: For National Security?

Charlie: Yes, there are about 2 years, Bob Tomkins who called me.

Don: Wait a minute! The Assistant Director Robert Tomkins!

Charlie: Bob, yes! Robert, that's it!

Don (smiling): Charlie, you're crazy! You realize that you do not need to wear a badge to come to the office, you can go anywhere!

Charlie: Really? Nobody told me anything.

Don: Yeah, well, I have to get used to the fact that my little brother was a consultant on a fairly important thing to is the deputy director by his first name!

Charlie: You know the NSA consults lots of mathematicians.

Don: And you you know you have never been very good for the secrets, you should think about it.

Charlie upset leaves.

Don: Charlie?

Charlie: Hi!

 

At the headquarters of the FBI

 

Don examine the cases of people sick.

Don: Died ... treatment ... died ...

David arrives.

David: Don! It's new!

Don, Terry and David rejoigne Charlie and the Commander Evercamp in an office.

Don: Hello, Craigmac awarded the contract to Russell Lab two weeks before the virus is widespread, they will make an announcement in 8 days.

Charlie: But you disez their deadly strain was less than Gen-o?

Evercamp: I've said and that is the case.

Charlie: So, they will develop a vaccine from the virus less virulent.

Evercamp: When a group takes such a decision, other factors are taken into account.

Don: Which ones?

Evergrant: Russel Lab Certainly not the best virus, but their CEO maintains excellent contacts with the Office of Drug Control Matters for Craigmac.

The phone rings David.

Terry: Grolsch man who dreams of this contract no longer applies.

Don: No, no, no, Grolsch unaware that the contract was signed ...

David (hanging): They found something on the videos of the bus terminus.

Everybody goes to the lab video. On the screen, Dr. Weaver down a bus, Don is a still image.

Don: Weaver!

Images parade again.

Don: Advances, advances ...

On the video, Dr. Weaver boarded a second bus.

Don: It has been rising in the second bus. It was trust this man to develop a deadly virus and that he disseminates.

Terry: What I said! So it was no eye maniac?

David, on the phone, hang up.

David Weaver is not at home or in the office and he said he would not be in the afternoon.

Don: We must find and quickly!

 

With a techicien to locate Dr. Weaver with his phone.

Don: If it is his voice mail, try again.

David: Attention.

Dr. Weaver (on phone): Hello?

Don (by telephone): Dr. Weaver? Agent Eppes!

Dr. Weaver (on the phone in his car): Yes, I am delighted to hear you.

Don (by telephone): Me too, that I would have some questions for you ... I could go see you?

Dr. Weaver (on phone): Well, I'm not at my desk today.

The location gets on the screen.

Don (by telephone): But it does take a second, it can be done by phone!

Dr. Weaver (by telephone): That is to say that I am driving my car.

Don (by telephone): Good! And where are you?

Dr. Weaver (on phone): I m'arranger for that is tomorrow ... Agent Eppes, excuse me, but I hate to call when I drive ... Goodbye.

Hangs but the location was possible.

Don: Where is he?

Terry: It approaches Hancock Park.

Don: Okay, you notify the police that all men we rejoingnent available.

David: Come on.

 

Before a church

 

Dr. Weaver moves a plastic bag in his hand. The FBI agents arrived in their turn.

Don (before the car Weaver): Excavations his car!

David: Immediately.

The FBI agents stop Dr. Weaver that does nothing to escape.

Don: Do more a gesture not move! Do not move!

Terry: I'm in the bag.

Don: Do not stay on the front, back, move it away from the church.

Dr. Weaver: Is it really necessary!

Don: To prove that your virus was more nasty, you wanted to test it on innocent victims?

Dr. Weaver: Yes! I had! To save lives.

Don: To save lives? 20 people died!

Dr. Weaver: If vaccines and treatments are developed from the wrong strain, the Spanish flu back and I can assure you we will not be ready, millions of people die.

Don: You justify the deaths today to save lives tomorrow?

Dr. Weaver: If you attend deadly virus since as long as me, you know that I had no choice. The virus does not forgive. We must do everything possible to protect the innocent.

Don: What?

Evergrant (relating the contents of the bag Weaver): Candles! These are just candles.

Dr. Weaver: In memory of the victims ... I wanted to turn one for each of them ... You thought I was going to start spreading the virus here?

Don: In road.

Dr. Weaver: I have no reason to do so ...

Don: Let's go!

Dr. Weaver: I have already established that our most deadly strain is spread the virus ... would be insane.



In the house Eppes

  

Charlie and Alan eat on the terrace, Don arrives, a glass in his hand.

Alan: So, how's it going boys? Me ... You look more relaxed than the last two days!

Don (sitting): Yeah, I would say that not doing too badly, I think ... We just close our case ... I will finally be able to complete my first night of the week.

Charlie: Happy that it is finished.

Alan: I intend to work at home all next week ... if you do not inconvéniants?

Don: No, everything is fine now.

Charlie: This is an excellent idea.

Alan (rising): Good! Well, at any time! I'll take a tour with Hart Stanley.

Charlie: Ah! And where are you?

Alan (from): At Bowling! With all the hullabaloo that you do, I thought we might try.

Charlie and Don smile.

Don: Wow, when I think you can ever told me that you were consultant to the NSA!

Charlie: That's not what you think!

Don: Me? But I do nothing. S'ammoncellent so many things on my desk, if it is, I have been advised of your assignment when it took place ...

Charlie: It was not really an assignment ... but rather as a pass to go behind the scenes ... finally, you know, it was not a sensitive ... we have troops all around the globe , You know ...

Don: Well, stop! Stop! Stop!

Charlie: What? I can tell you on you? You said that ...

Don: Stop, stop! Not let you! You have sworn, you are bound by professional secrecy, you must not talk about it ... forget what I told you ... I ask you anything ... I know how you work and I think ... your little head that works very well, I would not come without you.

Don congratulate Charlie with a hug. Charlie smiles.

Don: Tell me about this mission?

Charlie: You wanted to know anything!

Don: Go! That was what?

Charlie: I can not really say anything ... It's top secret ...

  

End Credits

Kikavu ?

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choup37, 19.04.2024 à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

CastleBeck, Hier à 11:48

Il y a quelques thèmes et bannières toujours en attente de clics dans les préférences . Merci pour les quartiers concernés.

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